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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

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aide publique au développement (APD)

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articles

Dévoilement public du Forum international d’économie sociale et solidaire 2011

Montréal, le 12 novembre 2010 – Le Chantier de l’économie sociale est heureux de procéder aujourd’hui au dévoilement de la tenue du Forum international de l’économie sociale et solidaire – FIESS qui se déroulera du 17 au 20 octobre 2011. Lors de la conférence de presse, la présidente-directrice générale du Chantier de l’économie sociale, madame Nancy Neamtan, a exprimé toute la fierté des acteurs de l’économie sociale du Québec de pouvoir accueillir des partenaires de tous les continents qui partagent le (...) lire

date de mise en ligne : 29 novembre 2010

Pour Nicolas Sarkozy, Thierry Henry vaut plus que trois milliards de pauvres

> Annulation de la réunion de préparation du G8-G20 avec les ONG françaises

Communiqué de presse de Coordination Sud Prenant acte des priorités du Président de la République à la veille du G8, les ONG ne participeront pas au rendez-vous avec MM. Kouchner et Joyandet ce jour. Les ONG françaises étaient invitées par le Président Nicolas Sarkozy jeudi 24 juin à 11 heures pour discuter des positions françaises pour le G8 et le G20 au Canada. Mercredi 23 au matin, elles ont été informées que cette réunion se tiendrait en réalité avec le ministre Bernard Kouchner et le secrétaire (...) lire

date de mise en ligne : 24 juin 2010

Coordination SUD

Une APD française dopée par les allégements de la dette

http://www.coordinationsud.org/IMG/p (...)

La hausse apparente des APD en France s’explique principalement par la prise en compte de l’annulation de la dette de certains pays en développement. Malgré cette initiative (PPTE), les pays en développement concernés ne detiennent pas forcément des ressources supplémentaires. L’annulation de la dette devient davantage un instrument au services des intérêts géostratégiques de la France orientant ses priorités d’actions.  lire

date de mise en ligne : 18 juin 2007

CONCORD

Rapport 2007 sur l’aide au Développement : l’Europe manque à ses promesses

Pour la 2ème année, un nombre sans précédent d’ONG européennes de Développement se sont réunies sous l’égide de CONCORD pour produire un rapport analysant l’aide au développement européenne et la façon dont les chiffres sont gonflés. Réseaux, associations nationales, ONG individuelles des 27 Etats membres ont contribué à ce rapport. Les ONG ont analysé les chiffres 2006 de l’aide au développement fournis par l’OCDE. Elles ont calculé combien les gouvernments européens et la Commission européenne ont (...) lire

date de mise en ligne : 15 mai 2007

Aide au développement : l’Union européenne et la France pointées du doigt par les ONG

> Communiqué de presse, Coordination Sud, 3 avril 2007

A l’occasion de la publication des chiffres de l’aide publique au développement par le Comité d’aide au développement de l’OCDE, Coordination SUD rappelle à travers un communiqué adressé ce jour à la presse que la contribution réelle de la France est bien inférieure aux chiffres officiels. Un tiers de l’aide européenne au développement est « artificielle » Le Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE vient de publier les premiers chiffres de l’aide publique au développement (APD) allouée par les pays (...) lire

date de mise en ligne : 3 avril 2007

Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité (GRIP)

Aide au développement et conflits avant et après le 11/9 : évolution d’un outil au service de l’UE

> Note d’analyse du GRIP (Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité)

Depuis qu’elle existe, l’aide publique au développement (APD) se comprend bien plus à la lumière du contexte international où elle intervient qu’au regard des besoins des pays bénéficiaires. Dès lors, lorsque le système international change de nature, la nature de la coopération au développement évolue elle aussi, en s’adaptant aux orientations et aux besoins qui caractérisent à ce moment la communauté des donateurs. Les grandes dates de l’Histoire nous aident ainsi à comprendre l’évolution de la politique (...) lire

date de mise en ligne : 5 janvier 2007

COQUART Philippe

La crise de l’aide publique au développement

> Revue Techniques financières et développement éditée par "Epargne sans frontière", PDF 19 pages, mars 2006

L’Aide Publique au Développement (APD) mondiale est en crise et l’APD française n’échappe pas à la règle. Pour tenter d’analyser ce phénomène récurrent, le présent article fait la revue des données chiffrées de son évolution à la fois au plan global et pour la France, afin de fixer ce qu’on peut appeler la crise des ressources de l’APD. Il s’attache ensuite à présenter les grandes lignes de la réforme entreprise en France, s’agissant du dispositif d’APD, et à s’interroger sur ses méandres. Enfin, quelques (...) lire

date de mise en ligne : 20 novembre 2006

Défis Sud

Développement : l’aide « fantôme », un vrai problème

> Revue Défis Sud, PDF, 2 pages.

http://www.sosfaim.org/pdf/fr/ds74/1 (...)

Quarante et un pourcent du total de l’aide au développement octroyée par l’Union européenne (34 milliards d’euros) seraient inefficaces,affirme Action Aid. L’assistance technique surfacturée et l’aide gonflée ou « liée » seraient encore bien ancrées dans les moeurs des pays donateurs, indique cette ONG britannique dans un rapport publié à Bruxelles en juillet dernier. Les ONG sont-elles concernées par ces pratiques ? Explications avec Alexandre Polack, responsable de la communication d’Action Aid auprès de l’UE. Entretien avec Alexandre Polack, responsable de la communication d’Action Aid.  lire

date de mise en ligne : 16 novembre 2006

LORILLU Olivier

Dette du Sud, dette états-unienne : quelles réalités ?

> Réseau Voltaire

http://www.voltairenet.org/article14 (...)

La dette des pays du Sud semble exorbitante. Elle est pourtant cinq fois moindre que celle des États-unis. Mais elle seule est exigible. La dette devient alors un outil de domination du fort sur les faibles.
La dette extérieure publique des pays en développement (165 États, 86 % de la population mondiale) atteint des sommets vertigineux : 1 600 milliards de dollars. Nuançons d’emblée ce chiffre : la dette publique des seuls États-Unis s’élève à 8 000 milliards de dollars (4,5 % de la population mondiale). Mais quelles réalités se cachent derrière ces montants ?  lire

date de mise en ligne : 27 juillet 2006

FREUD Claude

La Banque mondiale n’a plus d’argent, mais elle a des idées

> Cahiers d’études africaines,157, 2000

http://etudesafricaines.revues.org/d (...)

Ce rapport de la Banque mondiale propose de rendre plus efficace l’aide aux pays en voie de développement, dans une conjoncture de baisse des transferts financiers d’aide publique, sur la base de trois principes : l’adoption du modèle libre-échangiste, la démocratisation et la bonne gestion des affaires publiques. Si la préoccupation revient aux problèmes de développement, après vingt années d’accent mis sur l’ajustement structurel, il apparaît à l’examen des solutions préconisées que cet exercice est avant tout une tentative de justifier les politiques passées et de légitimer le rôle prééminent de la Banque mondiale dans l’aide au développement.  lire

date de mise en ligne : 8 juin 2006

CARAYOL Rémi

Il n’y a pas que les bailleurs dans la vie !

> Kashkasi, n°19, 8 décembre 2005

http://www.kashkazi.com/article-19-2 (...)

Depuis des mois, on ne parle que de cette conférence des bailleurs de fonds qui devrait se dérouler ce jeudi à Maurice. Selon le discours officiel, elle va tout changer pour les Comores. Selon l’auteur de l’article, l’idée que le salut passe par l’aide internationale est tellement répandue que même les militants qui agissent localement semblent totalement dépendants de cette manne. En juillet dernier, lors de la Semaine de la citoyenneté organisée à Ndzuani, nombre de membres d’associations n’avaient que ces trois mots à la bouche : bailleurs de fonds. Cette solution de facilité, qui vise à déculpabiliser les autorités coupables de ne rien faire, mène à un abandon total de ses missions par l’Etat et fait le bonheur de certaines organisations non gouvernementales.  lire

date de mise en ligne : 24 mars 2006

HERRGOTT Katia

Vers un observatoire européen de l’aide publique au développement

> Nouvelles de Sud, n°117, février 2006

Lors du Conseil des affaires générales et des relations extérieures (GAERC) des 23 et 24 mai 2005, l’Union européenne (UE) s’est engagée à accroître son Aide publique au développement (APD). Les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont ainsi adopté de nouveaux objectifs : le niveau collectif de l’APD de l’UE devrait passer de 0.33% du revenu national brut, actuellement, à 0.56% d’ici 2010, soit, à cette date, 20 milliards d’euro d’APD supplémentaire. Le seuil des 0.7% est programmé, au plus tard, pour 2015. Selon les projections du CAD, sur la base de ces engagements, l’APD mondiale connaîtrait sa plus grande augmentation depuis l’instauration de ce concept, en 1960.
Des engagements qui suscitent un certain scepticisme
Les ONG européennes ont pris acte de cette décision. Elles restent cependant prudentes sur la manière dont les Etat chercheront à respecter leurs engagements. En effet, pour des pays comme l’Allemagne ou la France, cela nécessiterait plusieurs milliards d’euro supplémentaires. Dans un contexte budgétaire contraint, on voit difficilement comment ces engagements pourraient être atteints. En outre, rien n’indique qu’une hausse de l’APD telle qu’elle est déclarée au Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE génère des flux financiers supplémentaires pour les pays du Sud. Ainsi, lorsqu’elle résulte d’allègements de dettes qui, bien souvent, n’étaient plus remboursées par les Etats, cette augmentation correspond finalement à un effacement comptable de créances impayables qui ne génère qu’une très faible marge de manœuvre dans le budget des Etats bénéficiaires. De même, lorsque cette hausse résulte de la comptabilisation ex post d’agrégats statistiques dont le lien avec le développement est des plus ténus, telles que les dépenses liées à l’accueil des réfugiés dans le pays donneur ou le coût lié aux étudiants issus de pays en développement dans le système universitaire du pays donneur, aucun flux n’est généré pour le financement des OMD. L’exemple français l’illustre bien : une hausse de l’APD au sens du CAD ne signifie pas pour autant un accroissement équivalent des ressources financières disponibles pour le financement des OMD.
C’est pourquoi les réseaux et plates-formes d’ONG qui s’étaient mobilisés dans la campagne de l’Action mondiale contre la pauvreté ainsi que la plate-forme des ONG européennes, Concord, ont décidé de lancer un travail conjoint de suivi de la mise en œuvre de ces engagements. Un séminaire de lancement a été organisé à Bruxelles en décembre dernier, visant à mettre en place une stratégie de suivi conjoint de l’APD à l’échelle européenne. A cette occasion, Coordination SUD a été invitée à présenter son rapport sur l’APD française, qui avait déjà été présenté lors de l’Assemblée générale de Concord.
Cette dynamique a pour objectif d’associer toutes les plates-formes nationales des Etats membres de l’Union européenne ainsi que les réseaux d’ONG européens pour produire une analyse de l’aide communautaire. Une première étape dans cette dynamique sera constituée par la publication d’un rapport, inspiré notamment du rapport de Coordination SUD, analysant la composition et la qualité des APD européennes, dont le lancement est prévu début avril 2006.
Un premier pas vers un suivi associatif de l’APD communautaire
La production de ce rapport coïncidera avec la publication de deux rapports multilatéraux, dont un rapport produit par la Commission européenne, qui évaluera les progrès des Etats membres par rapport aux engagements pris à Barcelone en 2002, selon lesquels l’APD devait atteindre un objectif intermédiaire de 0.39% du RNB en 2006, en vue d’atteindre 0.7%. La Banque mondiale et le FMI produiront également leur rapport sur l’évaluation globale de l’aide. Il s’agit donc d’apporter le regard de la société civile dans les analyses de l’aide communautaire.
Le lancement de ce premier rapport sera organisé par Concord et prendra la forme de deux séminaires. Le séminaire de lancement, qui précèdera la tenue du GAERC et de la réunion ministérielle du CAD, vise à rappeler aux gouvernements leurs engagements en termes d’accroissement de l’APD. Un séminaire interne rassemblera les ONG et plates-formes européennes afin de prolonger la réflexion sur l’analyse de l’APD et de mettre en place une stratégie commune d’analyse et de plaidoyer.
Cette démarche adoptée pour 2006 est un premier pas vers une analyse beaucoup plus complète des APD des Etats membres, qui pourrait faire l’objet d’un rapport produit par Concord, sur la base des analyses et réflexions des plates-formes nationales, d’ici 2008.
Malgré les engagements pris par les Etats membres, le contexte européen n’est pas favorable à une hausse significative des financements en faveur des OMD. L’UE et ses Etats membres sont en effet soumis à des contraintes budgétaires fortes. En outre, une pression de plus en plus importante est exercée par l’UE dans le but d’accroître les flux d’APD destinés au financement de la régulation des flux migratoires, d’actions de stabilisation et de sécurité dans le cadre de la politique de bon voisinage ou d’actions orientées vers les politiques commerciales. Une analyse fouillée et suivie de l’APD communautaire est donc plus que jamais nécessaire, afin de s’assurer que les financements dégagés en APD financent effectivement la lutte contre la pauvreté et les inégalités.  lire

date de mise en ligne : 1er mars 2006

Coordination SUD

L’APD française et la politique de coopération au développement : Etats des lieux, analyses et propositions

> Coordination Sud, novembre 2005, 166pp.

http://www.coordinationsud.org/spip. (...)

Ce rapport dresse un bilan d’étape de la mise en œuvre de l’aide publique au développement française et analyse la réforme des politiques de coopération. Il s’attache à mesurer la quantité et la qualité d’APD « réelle » dégagée par les augmentations annoncées (l’APD « réelle » de la France ne représentant que 44,4% de son APD officielle).  lire

date de mise en ligne : 8 décembre 2005

Syfia International, WERMUS Daniel

Tsunami : L’Asie déshabillera-t-elle l’Afrique ?

> Syfia Suisse, 20 janvier 2005

http://www.alternatives.ca/article16 (...)

L’ONU redoute que la mobilisation en faveur des victimes d’Asie ne fasse oublier les autres urgences planétaires, notamment en Afrique. Comment transformer ce coup de cœur en effort durable ? Une question à 50 milliards de dollars pour les stratèges de Kofi Annan.  lire

date de mise en ligne : 16 février 2005

NARAIN Apurva, Notre Terre

Les ficelles de l’aide au développement

> Notre Terre n° 9, juillet 2002

Lors de la Conférence internationale sur le financement du développement qui s’est tenue en mars 2002 à Monterrey, Mexique, les pays riches ont une fois de plus refusé de prendre en considération de nouvelles options qui auraient pourtant permis aux pays pauvres de se débrouiller seuls au lieu d’avoir à compter sur de vaines promesses et quelques petites aides supplémentaires. Les pays en développement devraient cesser de faire la manche. Il faut réclamer de nouvelles règles pour un commerce équitable et un système de taxation mondial pour financer le développement.  lire

date de mise en ligne : 7 octobre 2004

DAUDIN Guillaume

Aide au développement : sommes-nous plus ou moins solidaires ?

> in Revue de l’OFCE, avril 2003, 14p.

http://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/r (...)

« Cet article propose un bilan de l’évolution récente de l’aide au développement. Pour cela, il examine tout d’abord le montant global de l’aide et sa décomposition en grands indicateurs traditionnels de qualité - aide non liée, aide multilatérale, etc. L’article s’intéresse aussi aux nouveaux objets de l’aide, en utilisant la notion de “biens publics mondiaux”, qui sert désormais de justification à l’aide internationale. Nous proposons ainsi un nouvel indicateur de qualité de l’aide, le “contenu en biens publics de l’aide”. Sur la décennie 1990-2000, nous constatons une évolution convergente des indicateurs de qualité vers une amélioration globale, compensant en partie la baisse quantitative des flux consécutive à la fin de la Guerre froide. Nous terminons l’article par une comparaison de la qualité de l’aide des États-Unis, de la France et de la Suède. »  lire

date de mise en ligne : 7 octobre 2004

ELOY David

Quelles responsabilités de l’Union européenne dans le financement du développement ?

Synthèse des débats du Séminaire : Quelles responsabilités de l’Union européenne dans le financement du développement ? FSE 2003 Présentation : David ELOY (coordinateur) Participants : Louise HILDITCH (modératrice), Ghazi HIDOUCI, Christian COMELIAU, Oscar UGARTECHE, Antonio TUJAN, Mikaela GAVAS Le séminaire a abordé la politique de coopération de l’Union européenne, principalement du point de vue du financement du développement. Il s’est concentré sur les thèmes suivants : l’aide publique au (...) lire

date de mise en ligne : 14 septembre 2004

JACQUET Pierre, SEVERINO Jean-Michel

Prêter, donner : comment aider ?

> in Revue d’Economie Financiere, juin 2004, 24p.

http://www.afd.fr/jahia/webdav/site/ (...)

« Depuis les années 80, l’aide publique au développement (APD) a été très marquée par la crise de la dette et s’est consacrée au moins en partie à son refinancement. Cette expérience, qui n’a pas encore trouvé son terme, a aussi contribué à changer les perspectives des bailleurs de fonds, des bénéficiaires et des observateurs de la société civile. [...]
« Cet article explore le débat entre prêts et dons. Il en donne dans une première partie une perspective historique rapide, avant de proposer une comparaison entre ces deux instruments. Enfin, il offre à partir de cette discussion des pistes de réflexion quant à l’évolution de l’Aide publique au développement et montre que le débat pertinent n’est pas entre les prêts et les dons, mais dans une ingénierie financière qui sache mélanger les deux pour mieux répondre aux besoins des pays en développement. »  lire

date de mise en ligne : 28 juillet 2004

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