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souveraineté alimentaire

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articles

Peuples Solidaires

Appel au G20 : ne jouez pas avec notre nourriture !

Réduire la faim dans le monde et renforcer l’agriculture paysanne et familiale supposent des réformes profondes en matière agricole, remettant radicalement en cause les politiques de libéralisation des marchés, comme celle de l’Union européenne avec la Politique Agricole Commune (PAC). Ces politiques ont provoqué spéculation, dumping social, dégradation de l’environnement et des conditions de vie des paysans et des paysannes au Nord et au Sud. Ainsi, à l’heure où la France assure la présidence du G20, (...) lire

date de mise en ligne : 9 juin 2011

Un élan décisif pour les préparatifs du Sommet de la FAO sur la sécurité alimentaire

> FAO

Le Président du Brésil Luiz Inácio Lula da Silva a annoncé, lors de l’ouverture des travaux de la 30e Conférence régionale de la FAO pour l’Amérique latine et les Caraïbes, qu’il avait accepté l’invitation de M. Jacques Diouf, Directeur général de la FAO, à participer au “Sommet sur la sécurité alimentaire” qui se tiendra du 3 au 5 juin 2008 au siège de la FAO, à Rome. Lire Lire également la "Situation Alimentaire Mondiale" dans le site de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et (...) lire

date de mise en ligne : 24 avril 2008

Nyéléni 2007 : Forum mondial sur la souveraineté alimentaire

> Sélingué (Mali), 23-27 février 2007

Différents mouvements issus de la société civile ont pris l’initiative d’organiser un Forum mondial sur la souveraineté alimentaire au Mali (Sélingué), du 23 au 27 février 2007. Face à l’échec des politiques néolibérales et à la détérioration des conditions de vie des populations urbaines et rurales, la souveraineté alimentaire intéresse un nombre croissant de décideurs politiques et de mouvements de la société civile. Un collectif composé des Amis de la Terre International, de Via campesina, de la Marche des (...) lire

date de mise en ligne : 12 février 2007

L’agriculture biologique peut-elle nous nourrir tous ?

> L’Etat de la planète, n° 27, mai-juin 2006

http://www.delaplanete.org/L-agricul (...)

Les seules personnes qui pensent que l’agriculture biologique peut nourrir le monde sont des hippies à l’imagination délirante, des mères hystériques et des agriculteurs biologiques arrogants. Vrai ? En réalité, non. Un bon nombre de dirigeants de l’industrie agricole, de scientifiques spécialisés dans l’environnement et dans l’agriculture et d’experts agricoles internationaux pensent qu’une transition à grande échelle vers l’agriculture biologique permettrait non seulement d’augmenter l’approvisionnement alimentaire mondial mais serait peut-être même la seule manière d’éradiquer la famine.
Cela peut paraît surprenant. Après tout, les agriculteurs biologiques rejettent les pesticides, les engrais synthétiques et les autres outils devenus synonymes d’agriculture à haut-rendement. Au lieu de cela, ils dépendent de l’élevage pour avoir du fumier et doivent faire pousser des haricots, du trèfle ou d’autres légumes fixateurs d’azote et fabriquer du compost ou d’autres formes d’engrais qui ne peuvent être produits dans des usines chimiques mais qui doivent être cultivés - et qui consomment donc de la terre, de l’eau et d’autres ressources. Dans la mesure où les agriculteurs biologiques s’interdisent l’utilisation de pesticides synthétiques, on peut penser que leurs cultures sont dévorées par des hordes d’insectes, leurs fruits frappés par la pourriture brune des cabosses et leurs plantes étouffées par les mauvaises herbes. De plus, comme l’agriculture biologique nécessite une rotation des cultures pour aider à contrôler les parasites, on ne peut plus cultiver aussi souvent dans le même champ du blé, du maïs ou tout autre produit.
Ces dernières années, l’agriculture biologique a attiré une plus grande attention, pas seulement de la part des critiques qui craignent que son adoption à grande échelle ne conduise des milliards de personnes à la famine, mais aussi de la part des agriculteurs et des agences de développement qui pensent qu’une telle transition pourrait être bénéfique pour les populations affamées. Malheureusement, à ce jour, personne n’avait cherché à établir par une analyse systématique si une transition généralisée vers l’agriculture biologique se heurterait au manque de nutriments et à une production insuffisante. Les résultats sont saisissants.  lire

date de mise en ligne : 7 février 2007

TAO Abdoulaye

Forum de Niamey : Le face-à-face entre paysans et décideurs politiques

> ABC Burkina

Le quotidien burkinabè "Le Pays" publie dans son numéro du 10 novembre son compte-rendu du Forum de Niamey sur la Souveraineté alimentaire. Le forum sur la souveraineté alimentaire en Afrique de l’Ouest organisé par le ROPPA (Réseau des organisations paysannes et de producteurs de l’Afrique de l’Ouest) s’est ouvert le 7 novembre 2006 à Niamey. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le Premier ministre du Niger, Hama Amadou, devant plus de 300 participants. Le ton était au dialogue entre décideurs (...) lire

date de mise en ligne : 20 novembre 2006

Les paysans maliens font la loi

> Revue Résonances Africaines, publication Frères des Hommes

http://www.france-fdh.org/resonances (...)

Fin juin 2006, l’Assemblée nationale du Mali adoptera la nouvelle Loi d’Orientation Agricole (LOA). « C’est un événement majeur dans l’histoire du développement agricole » affirme Ibrahima Coulibaly, président de la Coordination Nationale des Organisations Paysannes (CNOP). L’enjeu et les attentes de l’ensemble des paysans maliens sont importants puisqu’il s’agit de « moderniser l’agriculture et d’en faire le moteur de l’économie rurale ».  lire

date de mise en ligne : 19 juillet 2006

Via Campesina

Qu’est ce que la souveraineté alimentaire ?

> Janvier 2003, ABC Burkina

http://www.abcburkina.net/vu_vu/vu_6 (...)

"La souveraineté alimentaire désigne le DROIT des populations, de leurs Etats ou Unions à définir leur politique agricole et alimentaire, sans dumping vis à vis des pays tiers." Adoptant le point de vue du mouvement paysan, cet article explique le concept de la souveraineté alimentaire et les effets sur l’alimentation des politiques néolibérales.  lire

date de mise en ligne : 1er décembre 2005

OUDET Maurice

Sécurité alimentaire ou souveraineté alimentaire, il est temps de choisir ?

> Janvier 2004, abc Burkina

http://www.abcburkina.net/vu_vu/fr_v (...)

Un regard du Burkina Faso autour le débat sur la souveraineté alimentaire, qui souligne en particulier la distinction entre les villes et les villages face à cet enjeu.  lire

date de mise en ligne : 1er décembre 2005

OUDET Maurice

La révolution blanche est-elle possible au Burkina Faso, et plus largement en Afrique de l‘Ouest ?

> Juillet 2005, Misereor, 30pp., PDF

http://www.abcburkina.net/documents/ (...)

Une analyse du secteur laitier et des conséquences des importations de lait (et du "dumping") sur la production locale. C’est aussi une étude des incidences sur la sécurité alimentaire et la pauvreté au Burkina Faso.  lire

date de mise en ligne : 30 novembre 2005

A Cotonou, au Bénin, des paysans venus de 40 pays de quatre continents réfléchissent à la mondialisation

> Cotonou, Novembre 2002, abc Burkina n°16

http://www.abcburkina.net/vu_vu/vu_5 (...)

Des délégués de la FIMARC (Fédération Internationale des Mouvements d’Adultes Ruraux Catholiques), se sont rassemblés à Cotonou (Bénin) du 09 au 26 novembre 2002 pour réfléchir aux conséquences de la mondialisation sur leurs activités. Il en ressort entre autres que les règles commerciales établies au sein de l’OMC favorisent les pays riches, que les programmes d’ajustement structurel continuent de provoquer de considérables dégâts et que les progrès technologiques ne sont pas au service des ruraux, que « l’autodétermination des gens est devenue un terme vide de sens ». Face à cela, ces paysans en appellent à faire alliance avec d’autres mouvements et organisation de la société civile qui partagent les mêmes objectifs, mener des actions de lobby, construire de nouveaux modèles de développement, prendre toutes les mesures effectives pour collecter et préserver les semences traditionnelles et de soutenir les mesures destinées à lutter contre la spéculation financière.  lire

date de mise en ligne : 14 juin 2005

FAO

Etat de l’insécurité alimentaire dans le monde 2000 - Cohabiter avec la faim et redouter la famine

> Rapport de la FAO, 2000, 40p.

http://www.fao.org/FOCUS/f/SOFI00/so (...)

« Quelle est la gravité de la malnutrition des plus de 800 millions de personnes sous-alimentées dans le monde ? Un nouvel instrument d’évaluation de la gravité de leurs besoins a été inséré dans le dernier numéro de "L’état de l’insécurité alimentaire dans le monde" (SOFI 2000) de la FAO. Il sert à mesurer, en kilocalories, le déficit alimentaire par personne de la population sous-alimentée dans chaque pays et vise à évaluer le degré de malnutrition.
« Selon le rapport, 826 millions d’habitants de la planète n’ont pas suffisamment à manger, dont 792 millions de personnes dans les pays en développement et 34 millions dans les nations industrialisées et les pays en transition. Ces chiffres ne constituent pratiquement aucun changement par rapport au dernier bilan : un bien triste signe de l’incapacité du monde d’intervenir de façon adéquate à une époque de prospérité sans précédent.
« Selon la FAO, le nombre de personnes souffrant de la faim dans les pays en développement a reculé de 8 millions par an durant la première moitié des années 90. Mais si nous devons tenir l’engagement pris lors du Sommet mondial de l’alimentation en 1996 - réduire de moitié, d’ici à 2015, le nombre de personnes sous-alimentées dans le monde - ce nombre devrait être non pas de 8, mais de 20 millions de personnes par an.
« On note toutefois quelques progrès à l’horizon. Les projections de la FAO pour 2015 suggèrent que, du fait de l’essoufflement de la croissance démographique et des accroissements de productivité et de revenus, un nombre grandissant de personnes sera arraché à l’étreinte de la faim.
« Cependant, ces personnes ne peuvent attendre encore 15 ans. Les multiples causes de la sous-alimentation - de la pauvreté et des conflits au manque d’infrastructures et aux investissements limités dans l’agriculture - exigent un regain d’attention dans le monde entier, tant au niveau des villages qu’à celui de la communauté internationale. Un monde qui jouit d’une prospérité record a l’obligation morale de garantir que chaque habitant de la planète jouisse du droit d’être libéré de la faim. »  lire

date de mise en ligne : 9 août 2004

SEN Amartya

La famine apparaît seulement là où il n’y a pas de démocratie

> Entretien avec Amartya Sen, in Le Monde économie, 12 juin 2002

http://coranet.radicalparty.org/pres (...)

Dans cet article, Amartya SEN répond à quatre questions :

  1. Huit cents millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Comment expliquez-vous qu’une telle situation perdure au XXIe siècle ?
  2. Les pays riches ont-ils une responsabilité dans cette situation ?
  3. La libéralisation des échanges qu’encouragent la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI) peut-elle être une solution ?
  4. L’autosuffisance alimentaire peut-elle être un moyen de résoudre le problème de la malnutrition et de la faim dans le monde ?
 lire

date de mise en ligne : 10 juin 2004

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