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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

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accès à l’eau

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articles

France Libertés

Négociations à l’ONU pour la conférence Rio+20 : le droit à l’eau en danger !

Communiqué de presse du 27 mars d’André Abreu et d’Emmanuel Poilâne de France Libertés En mars, une avant dernière session des négociations s’est tenue à New York en vue du Sommet de Rio + 20 qui se tiendra du 20 au 22 juin prochain. Les groupes de la société civile qui travaillent pour le droit à l’eau découvrent avec surprise et étonnement que certains groupes et certains pays – dont l’Union Européenne ‐ travaillent pour effacer systématiquement du texte toute mention au droit à l’eau, ainsi que d’autres (...) lire

date de mise en ligne : 28 mars 2012

Survival International

Les Bushmen ‘déterminés’ à gagner la bataille de l’eau

Le 17 janvier prochain, la Cour d’appel botswanaise tiendra audience pour décider si les Bushmen qui vivent sur leurs terres ancestrales du Kalahari ont droit à l’eau. Lire lire

date de mise en ligne : 17 janvier 2011

Le contrat secret de la privatisation de l’eau à Berlin rendu public

> Marc Laimé

Le quotidien berlinois Tageszeitung (TAZ) a publié dans son édition du samedi 30 octobre 2010 un contrat secret signé entre les autorités du Land et la transnationale française Veolia. Il assure à cette dernière depuis 1999 des bénéfices colossaux garantis par des clauses confidentielles, toujours en vigueur, alors même que leur illégalité avait été dénoncée dès 1999 par la Cour constitutionnelle. L’affaire fait grand bruit à Berlin, où 265 000 citoyens viennent de signer une pétition demandant l’annulation (...) lire

date de mise en ligne : 10 janvier 2011

Commission européenne : Michel Barnier laisse la porte ouverte à une libéralisation du secteur de l’eau

Barnier et les services d’eau : méconnaissance ou intérêt national ? L’analyse d’Aquattac Lors de son audition au Parlement Européen, ce mercredi 13 janvier 2010, M. Michel Barnier, Commissaire désigné au Marché Intérieur, le poste le plus convoité dans la nouvelle Commission Barroso II, a eu à répondre à une question de Mme Heidi Rühle, du groupe des Verts européens, sur ses éventuels projets d’inclusion des services d’eau municipaux dans l’initiative législative sur les concessions et les partenariats (...) lire

date de mise en ligne : 19 janvier 2010

Novethic

L’Asie doit faire face à la pénurie d’eau

> Par Béatrice Héraud

Avec une industrialisation rapide, une croissance importante de la population, la multiplication des sécheresses, la menace du changement climatique, et les difficultés d’irrigation, la question de l’eau est plus que jamais centrale en Asie. Ainsi, selon un rapport intitulé « Un avenir pour l’irrigation asiatique », publié en août par l’Institut international de gestion de l’eau (IWMI), le continent doit entamer de façon urgente une réforme de l’eau s’il veut éviter d’importer plus d’un quart du riz, du (...) lire

date de mise en ligne : 30 septembre 2009

Madame, Monsieur le Maire, et si après le champagne vous passiez à l’eau ?

A l’occasion de la journée mondiale de l’eau du 22 mars 2008, la Coalition Eau, regroupement de 22 ONG françaises (CCFD, Eau Vive, France Libertés, Green Cross France, GRET, Hydraulique Sans Frontières, Secours Catholique, WWF-France, …) interpelle les nouveaux élus municipaux. Elle insiste sur le rôle primordial que les maires doivent jouer dans l’accès à l’eau pour tous, la gestion et la protection de cette ressource vitale sur leur territoire et dans le cadre d’actions de solidarité internationale. (...) lire

date de mise en ligne : 21 mars 2008

BOUGUERRA Mohamed Larbi

Gouvernance de l’eau : l’urgence de changer de regard et de pratiques

http://www.d-p-h.info

L’eau est une ressource vitale, irremplaçable,contrairement au pétrole.
Cette eau, contrairement à une idée fausse, est en quantité limitée sur terre. Seul le cycle de l’eau qui fonctionne depuis 4,5 milliards d’années permet de la recycler et donner cette illusion d’infini.
En dépit du fait que la terre est souvent appelée la planète bleue, l’eau douce ne représente que 2% de l’eau recouvrant notre terre. De plus, cette eau est très inégalement répartie sur notre planète. Six pays possèdent la moitié de l’eau douce du monde : le Brésil, la Russie, la Colombie, le Canada, l’Indonésie et la Chine. Mais ce dernier pays, avec 21% de l’Humanité, n’a que 7% de l’eau douce de la terre.
Changement climatique
Depuis près d’une décennie, le Conseil Scientifique International sur les questions environnementales classe la pénurie d’eau comme le problème le plus aigu, au XXIème siècle, juste après le réchauffement climatique.
Ce distinguo n’est peut être plus de mise car les deux phénomènes sont intimement liés.
Le rapport scientifique du GIEC (Groupe International d’Etude du Climat de 500 experts réuni à Bruxelles en avril 2007) prévoit que les pénuries d’eau pourraient tripler sous l’effet du réchauffement. Le réchauffement rime avec famine et manque d’eau (Rapport GIEC à l’intention des décideurs, février 2007). Outre la hausse des températures, les précipitations augmenteraient dans les hautes latitudes et baisseraient dans les zones subtropicales. Les sécheresses seront plus longues et plus intenses en zone tropicale et subtropicale. Les cyclones tropicaux seront plus intenses. Le changement climatique devrait toucher les insectes pathogènes dont la biologie est liée à la pluviométrie et à la température. Ils peuvent être affectés dans leur distribution géographique, leur biologie, leur survie, leur fécondité. Il y a moins d’un siècle, le paludisme prévalait en Corse, en Italie du sud et au Latium, dans les Balkans...
Une personne sur quatre, aujourd’hui, n’a pas accès à l’eau potable (UNESCO).
Le PNUE avertit qu’à l’avenir, deux hommes sur trois vivront dans des pays frappés par le « stress hydrique » (un déséquilibre structurel entre le capital limité d’un pays en eau et sa consommation ; pour certaines écoles, le stress se situe au dessous de 1000l/an/personne, tous usages confondus).
Pour faire face à ces difficultés, pour l’agriculture, il faudrait populariser, chez les irriguants, le goutte-à-goutte et mettre au point des variétés moins gourmandes en eau et des variétés acceptant des eaux chargées en sel, par exemple, comme on l’a fait pour les OGM résistant à certains herbicides ou produisant sélectivement des médicaments. Il faut retrouver les semences d’hier plus robustes : avant la colonisation, le Tchad avait une cinquantaine de variétés d’orge et de blé ; l’une résistait bien à la sécheresse, l’autre aux criquets et une troisième supportait bien le vent chaud du « khamsin » venant du Soudan. Les variétés commerciales et industrielles ont eu raison de ce capital séculaire.
De même, en Tunisie, il y avait plusieurs dizaines de variété de melon et un blé tunisien résistant aux champignons fait actuellement la fortune de la céréaliculture australienne... En ressuscitant ces variétés, on ferait des économies d’une eau précieuse et rare.
L’agriculture doit aussi adopter les eaux usées recyclées en provenance des villes- très grosses consommatrices d’eau.
L’eau virtuelle pourrait être, dans certains cas précis, d’un grand secours pour rationaliser l’usage de la ressource : ainsi, une région ou un pays ayant suffisamment d’eau pourrait exporter ses productions agricoles vers un autre pays ou une région où la ressource est rare ou mesurée ; en contrepartie, il y aurait exportation de produits de haute technologie, d’équipements industriels... Il y a là une situation de gagnant- gagnant.
Les politiques publiques devraient encourager (voire imposer) des mesures drastiques d’économie d’eau en agriculture, premier utilisateur d’eau dans le monde (60% en moyenne et 90% dans certains PVD). En 2006, le rapport commandé à l’INRA par le Ministère de l’Agriculture avait un titre particulièrement révélateur : « Sécheresse et agriculture. Réduire la vulnérabilité de l’agriculture à un risque accru de manque d’eau » (voir http://www.inra.fr/).
Un frémissement se ferait jour à la Banque Mondiale. Selon le site du journal Le Monde (20 avril 2007), la BM revient à l’agriculture (d’après son prochain Rapport Mondial Annuel sur le développement qui sera rendu public en septembre 2007) et écrit : « L’accélération du changement climatique, l’imminence d’une crise de l’eau [1], la lente adoption des nouvelles biotechnologies...créent de nouvelles incertitudes sur les conditions dans lesquelles la nourriture sera disponible dans l’économie mondiale ».
On notera que le changement climatique a d’ores et déjà des effets sur l’eau... et pas seulement au Sud. Ainsi, l’International Herald Tribune du 05 avril 2007 (p.2) rapporte que la sécheresse et la pénurie d’eau dans l’Ouest américain font des ravages et montent les Etats du Montana, de l’Utah , du Nevada, de la Californie... les uns contre les autres et certains vont jusqu’à la Cour Suprême pour régler leur différent relatif à la « propriété de l’eau ». Lire l’article  lire

date de mise en ligne : 9 juillet 2007

BA Hawa

Privatisation de l’eau : une incantation dans la bouche des gouvernants ?

http://www.pambazuka.org/fr/category (...)

Le deux dernières décennies ont été le témoin de tragédies réelles pour les populations pauvres de la plupart des pays du tiers-monde. Leurs droits les plus élémentaires, comme celui de l’accès à la ‘ressource universelle’ qu’est l’eau, ont été sacrifiés à l’autel de la seule volonté -voire du seul caprice- de sociétés financières internationales et de leurs alliées que sont des multinationales qui ne sont mues que par l’appât du gain. ‘Libéralisation’, ‘privatisation’ sont ainsi devenues un jargon fétiche que ne cesse de leurs rabâcher la société capitaliste mondiale qui impose son diktat a des gouvernants devenues tout simplement des caisses de résonance. Cet article se penche sur la privatisation de l’eau au Sénégal et tente d’en faire ressortir les multiples avatars.  lire

date de mise en ligne : 27 juillet 2006

MITTERRAND Danielle

Les boliviens ont besoin de nous

Solidarité Internationale pour l’accès à l’eau potable en Bolivie

http://www.france-libertes.fr/articl (...)

200 000 boliviens n’ont toujours pas accès à l’eau potable dans la ville de El Alto. Ce chiffre représente plus de 10% de la population de la capitale bolivienne. Les maladies dûes à ce manque d’eau potable touchent en premier lieu les femmes et les enfants des districts les plus pauvres de la ville de El Alto, banlieue de La Paz, et de la zone sud de Cochabamba. Pourtant, il suffirait d’environ 1.2 millions d’euros, pour que le Ministère de l’Eau Bolivien puisse mettre en oeuvre son plan d’urgence, qui consiste à creuser des puits, construire des citernes et transporter l’eau potable dans ces quartiers défavorisés. Malheureusement le contexte actuel de ce pays, le plus pauvre d’Amérique du Sud, ne permet pas au Président Evo Morales, élu depuis quelques mois, de pouvoir débloquer en urgence cette somme.  lire

date de mise en ligne : 7 juillet 2006

CETIM

Exigeons l’application du droit à l’eau !

> CETIM, mars 2005

L’eau potable, devenant de plus en plus rare et de plus en plus polluée en rais on du mode de développement pratiqué (dans l’industrie et l’agriculture en particulier) à travers le monde, constitue un problème central pour l’humanité. Certains observateurs tirent déjà le signal d’alarme pour que des mesures soient prises afin d’éviter que l’eau ne devienne une source majeure de conflits dans un futur proche.  lire

date de mise en ligne : 2 mai 2005

AGARWAL Anil, Notre Terre

Message à diffuser : récoltez l’eau du ciel !

> in Notre Terre n° 7, novembre 2001

La récolte de l’eau par les populations locales est un concept qui fait son chemin, en Inde et ailleurs. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime que pour assurer la sécurité alimentaire il est de plus en plus indispensable de recourir à la récolte et à la conservation de l’eau.  lire

date de mise en ligne : 7 octobre 2004

HINRICHSEN Don

La grande soif de l’homme

> in L’Etat de la planète Magazine, n°7 janvier-février 2003, World Watch, traduit par Alexandre Friederich

http://www.delaplanete.org/article.p (...)

Selon Don Hinrichsen, « l’homme s’approprie désormais plus de la moitié de l’eau douce disponible dans le monde. L’augmentation de la demande dans les secteurs agricole et industriel et la croissance démographique provoquent une pénurie chronique pour des régions entières de la planète. » Une approche intéressante, bien qu’insistant sans trop sur le facteur démographique.  lire

date de mise en ligne : 22 juillet 2004

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