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catastrophe naturelle

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Communiqué du Collectif Haïti de France

Le séisme qui a frappé l’Ouest d’Haïti a dévasté la capitale Port-au-Prince mercredi 13 janvier 2010. Le Collectif Haïti de France (CHF) s’associe à la douleur des victimes de cette catastrophe. Nous avons une pensée pour tous ceux qui ont perdu soit un ou plusieurs de leurs proches soit tout ce qu’ils possédaient. Nous n’oublions pas nos partenaires qui oeuvrent sur le terrain haïtien. Nous voyons des symboles de la nation haïtienne ébranlés : le Palais National, des administrations, des écoles, des (...) lire

date de mise en ligne : 14 janvier 2010

Désertification et zones arides

Le 17 juin : journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse

> Unesco et FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), Juin 2006

Il est essentiel de combattre la désertification afin d’assurer une productivité à long terme des terres sèches habitées. Malheureusement les efforts passés ont trop souvent échoué, et, dans le monde, le problème de la dégradation des terres continue à s’aggraver. Plus de 110 gouvernements, reconnaissant le besoin d’une nouvelle approche, ont signé la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Cette Convention a pour but de favoriser une action efficace par le biais de (...) lire

date de mise en ligne : 21 juin 2006

NARAIN Sunita

Tsunami en Inde : on sait appliquer des pansements d’urgence

> Notre Terre, 31 janvier 2005

Cet article dénonce à la fois la difficulté à prévenir les catastrophes, la mauvaise gestion et l’irresponsabilité des institutions scientifiques indiennes et des services administratifs et l’absence d’une véritable politique de gestion des côtés. Il y a quatre ans, Anil Agarwal, fondateur du Centre pour la science et l’environnement, notre ancien collègue et ami, faisait paraître dans Down To Earth un article sévère sur les opérations de reconstruction après le tremblement de terre qui avait frappé le (...) lire

date de mise en ligne : 12 avril 2006

SAMATH Feizal

Tsunami : mission impossible

> Notre Terre, 15 février 2005

La bataille semble perdue d’avance. Après la catastrophe du tsunami qui l’a durement frappé, le Sri Lanka essaie désespérément de mettre sur pied un système convenable de gestion de crise. Malheureusement, pour des gens bien informés, tous ces efforts ne déboucheront peut-être sur rien à cause de l’inefficacité des institutions, d’une bureaucratie inepte et la fréquence des changements politiques. Au cours des trois dernières années, il y a eu régulièrement des inondations dans le pays. A en juger par la (...) lire

date de mise en ligne : 12 avril 2006

LE SANN Alain

Le tsunami au Tamil Nadu : impact sur les communautés côtières

> CRISLA, (Centre de réflexion, d’information et de solidarité avec les peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine), 1er mars 2006, 13pp.

Parmi les divers pays touchés par le tsunami, l’Inde présente une particularité : 70 à 80 % des victimes sont des membres de communautés de pêcheurs. L’Etat le plus touché, le Tamil Nadu, reproupe une importante communauté de pêcheurs de 700 000 personnes dont 200 000 à 262 000 pêcheurs actifs. Les villages fonctionnent largement en autonomie et le tsunami les a confrontés à de nouveaux problèmes de gouvernance du fait de la multiplication des acteurs. Plus d’un an après, il est possible de faire un premier bilan de la reconstruction, du rôle que jouent une multitude d’acteurs, l’Etat, les Ongs, les organisations professionnelles, les forces religieuses. La quasi-totalité du secteur de la pêche a été sinistrée pendant plusieurs mois, cependant, dès le mois de juin, l’activité avait repris, mais la distribution excessive de bateaux a renforcé le problème de la surexploitation. Le plus gros problème à résoudre reste celui de la reconstruction des villages. Un an après, la majorité des personnes déplacées continuent de vivre dans des conditions difficiles dans des camps provisoires inadaptés. Il faut résoudre des problèmes fonciers, ajuster le cadre juridique qui protège le littoral. La reconstruction au Tamil Nadu concerne une expérience de gestion intégrée d’une zone côtière à l’échelle d’un Etat. Sa relative réussite, malgré ses limites et ses difficultés, peut constituer un exemple pour des communautés de pêcheurs confrontées à des catastrophes.  lire

date de mise en ligne : 9 mars 2006

Collectif Pêche & Développement, ICSF

Rêves et réalités de la reconstruction après le tsunami pour les communautés de pêcheurs en Inde et au Sri Lanka

> Paris, 22 Novembre 2005

Déclaration commune d’ICSF (Collectif international d’appui aux travailleurs de la pêche) et du Collectif Pêche et Développement.  lire

date de mise en ligne : 30 novembre 2005

DREANO Bernard

Tsunami : les catastrophes naturelles ne sont naturelles que dans leurs causes

> Cedetim, 3 janvier 2005

Comme l’écrit Praful Bidwai, “les catastrophes naturelles ne sont naturelles que dans leurs causes. Elles sont socialement déterminées et transmises à travers des mécanismes et des organisations qui sont des créations des sociétés et des gouvernements. Les désastres naturels ne sont pas socialement neutres dans leurs impacts. Ils frappent plus les faibles et les pauvres que les privilégiés”.  lire

date de mise en ligne : 14 mars 2005

CALLAMARD Agnès, KENT Randolph

Les ONG toujours en retard d’une catastrophe

> Le Monde diplomatique, octobre 2004, pp.24-25

http://www.monde-diplomatique.fr/200 (...)

Alors que les catastrophes se multiplient ces dernières années, le système de prise en charge de leurs conséquences politiques, sociales et économiques paraît insuffisant et largement inefficace.
Les ONG tournées vers l’action semblent en effet prises dans des logiques endogènes qui ne favorisent ni leur réflexion, ni le travail en concertation ni la prise en compte des bénéficiaires de leurs projets. Quelques propositions de changements pertinentes et fort bienvenues.  lire

date de mise en ligne : 22 février 2005

Syfia International, WERMUS Daniel

Tsunami : L’Asie déshabillera-t-elle l’Afrique ?

> Syfia Suisse, 20 janvier 2005

http://www.alternatives.ca/article16 (...)

L’ONU redoute que la mobilisation en faveur des victimes d’Asie ne fasse oublier les autres urgences planétaires, notamment en Afrique. Comment transformer ce coup de cœur en effort durable ? Une question à 50 milliards de dollars pour les stratèges de Kofi Annan.  lire

date de mise en ligne : 16 février 2005

MILLET Damien, TOUSSAINT Eric

Tsunami : vos dons serviront à rembourser leur dette sauf si...

> 10 janvier 2005, article a été publié dans les quotidiens Libération (Paris), Le Soir (Bruxelles) et L’Echo (Bruxelles).

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Crédits CADTM
Onze pays ont été touchés par le tsunami survenu fin décembre. Ils cumulaient fin 2003 une dette extérieure de 406 milliards de dollars. En 2002, ils ont remboursé 60 milliards à leur débiteurs, 68 l’année suivante. En regard, les 6 milliards d’aide internationale promis font pâle figure.
Reprenant les mécanismes d’une dette "odieuse" et fustigeant l’hypocrisie des pays donateurs (qui sont souvent aussi créanciers), cet article vient à point nous rappeler que les malheurs conjoncturels ne doivent pas nous cacher les problèmes structurels.  lire

date de mise en ligne : 14 février 2005

KURIEN John, Notre Terre

Pour un avenir moins précaire

> Centre d’études pour le développement, Trivandrum, Kérala, Inde, 30 décembre 2004, traduit par Gildas Le Bihan

Personne ne pouvait prévoir le tremblement de terre qui, à partir des profondeurs de la mer, allait apporter la dévastation sur des milliers de kilomètres de littoral dans l’océan Indien. Contrairement aux grosses vagues de la « tempête parfaite », les tsunamis ne se font pas vraiment remarquer et ne sont pas d’un effet dramatique en mer. Elles sont très espacées (de 10 minutes à une heure) mais leur amplitude est très vaste, parfois plusieurs centaines de kilomètres.  lire

date de mise en ligne : 14 février 2005

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