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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

FMI

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articles

Le CADTM appelle à la destitution de Paul Wolfowitz et à une nouvelle architecture institutionnelle internationale

La situation est de plus en plus inextricable pour le président de la Banque mondiale, Paul Wolfowitz. Il s’avère que selon les conclusions de la commission spéciale de la Banque mondiale chargée de faire la lumière sur les accusations de népotisme à son encontre, Paul Wolfowitz aurait bel et bien violé le règlement de la Banque mondiale en accordant une augmentation de salaire de +45% à sa compagne, Shaha Riza. En outre, suite à ce scandale, Kevin Kellems, l’un de ses principaux conseillers, vient de (...) lire

date de mise en ligne : 9 mai 2007

De Chavez et Lula, c’est Lula le populiste

> Entretien avec Eric Toussaint

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Eric Toussaint, historien et politologue, est président du Comité pour l’annulation de la dette du Tiers-monde (CADTM) et membre d’Attac. Il est enthousiaste à l’égard des gouvernements de Hugo Chávez au Venezuela et de Evo Morales en Bolivie, mais est implacable dans la critique de Luis Ignacio Lula da Silva, président du Brésil. Co-auteur du livre « 50 questions, 50 réponses sur la dette, le FMI et la Banque mondiale » récemment paru au Brésil aux éditions Boitempo, il accuse le président Lula de populisme, un populisme basé sur son plan d’assistance aux familles les plus pauvres [1] alors que dans le même temps, le gouvernement applique une politique conforme au consensus de Washington. Dans une interview par téléphone avec O Globo [2], il affirme que c’est le moment idéal pour les pays émergents d’obliger les créanciers du Nord à la renégociation du principal fardeau affectant les pays émergents qu’est la dette externe.  lire

date de mise en ligne : 12 juillet 2006

STIGLITZ Joseph

Que va donc faire le FMI à propos des Etats-Unis ?

STIGLITZ Joseph

> CADTM, Juin 2006

Au printemps dernier, la réunion du FMI a été encensée comme une percée, leurs économistes ont reçu un nouveau mandat de « surveillance » des déséquilibres commerciaux qui contribuent de manière significative à l’instabilité globale. La nouvelle mission est d’une importance cruciale, tant pour la santé de l’économie mondiale que pour la légitimité du FMI. Mais le Fonds est-il à la hauteur de la tâche ? A l’évidence, il y a quelque chose d’étrange dans un système financier où le pays le plus riche au monde, les (...) lire

date de mise en ligne : 20 juin 2006

MILLET Damien, TOUSSAINT Eric

FMI, dette et terrorisme

> CADTM, 13 décembre 2005

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Le FMI vient d’annoncer qu’il va annuler la dette de 20 pays pauvres à son égard au début de l’année 2006. Aux yeux d’une opinion qui a du mal à décrypter les messages volontairement confus des grands argentiers du monde, la démarche est habile : elle veut signifier que le problème de la dette est en passe d’être réglé. En fait, le but cherché est double : avoir bonne presse après les fortes turbulences dues à son rôle très discutable dans les crises financières récentes, mais aussi tenter de désamorcer la contestation croissante sur le thème de la dette des pays en développement. Cependant, plusieurs éléments laissent particulièrement perplexes.  lire

date de mise en ligne : 6 février 2006

ALBALA Nuri, Groupe ONU d’Attac

L’ONU, les institutions financières de Bretton Woods et l’OMC : la volonté de dissocier le politique de l’économie

> Chapitre 10, ONU : droits pour tous ou loi du plus fort ? : Regards militants sur les Nations unies, CETIM, Genève, 2005, 12p., RTF

Le divorce entre les peuples et l’organisation politique en charge de les représenter s’est accompagné d’un autre divorce : celui entre le politique et l’économique. Si la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, à l’origine agences des Nations unies, se sont affranchis de cette tutelle, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ne fait aucune référence à l’ONU dans ses statuts et les textes applicables à l’OMC et spécialement dans son tribunal (l’ORD) ne prennent pas en compte les documents des Nations unies. Il s’agit d’une véritable remise en question de son autorité et une violation de la souveraineté des peuples.

 lire

date de mise en ligne : 2 décembre 2005

Caritas Internationalis, CIDSE

Une réforme longtemps attendue ?

Fonds monétaire international, Banque mondiale, et gouvernance économique mondiale 60 ans plus tard

> Document de travail de la CIDSE et Caritas Internationalis, Aldo Caliari, April 2005, PDF (290 Kb), 16 p.

http://www.cidse.org/uploadedFiles/P (...)

Soixante ans après la création du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, leur rôle, de même que leurs relations avec d’autres acteurs clefs tels que les Nations Unies, est plus que jamais remis en question. La CIDSE et Caritas Internationalis en appellent à revoir sérieusement leur rôle dans une architecture de gouvernance mondiale qui doit s’adapter à la promotion du bien commun.  lire

date de mise en ligne : 11 juillet 2005

AFRODAD, CIDSE, Eurodad, Initiative d’Halifax, Jubilee USA

Vendre l’or du FMI pour annuler la dette : il est temps de décider

> Rapport en anglais, avril 2005, 9 pp., PDF

http://www.eurodad.org/uploadedFiles (...)

(traduction du résumé préliminaire, rinoceros) La dette due au FMI, à la Banque mondiale et à d’autres institutions multilatérales s’est accrue rapidement ces dernières années et ces institutions sont à présent les principaux créanciers des pays les plus pauvres du monde. La dette multilatérale peut être extrêmement coûteuse pour des pays dans l’incapacité de rembourser et qui ont déjà du mal à assurer les besoins essentiels de leur population.
Chaque année six millions d’enfants meurent de malnutrition avant leur cinquième anniversaire. Chaque jour huit cents millions de personnes se couchent en ayant faim et vingt-quatre mille en meurent. Le SIDA tue plus de deux millions de personnes chaque année, allongeant ainsi la liste des milliers d’orphelins dans les pays en développement.
Les organisations de la société civile dans le monde demandent depuis longtemps que les immenses réserves d’or du FMI - totalement sous-évaluées - soient utilisées pour financer l’allègement ou même l’annulation de la dette des pays les plus pauvres. Aujourd’hui, après des années de lutte, la viabilité de cette proposition a été formellement reconnue par le FMI dans un texte qui établit clairement qu’il est possible de vendre de grandes quantités de ces réserves sur le marché international sans impact négatif sur les cours mondiaux de l’or. Les ventes d’or pourraient être organisées dans le cadre d’un accord existant de la Banque centrale (Central Bank Gold Agreement). Cette disposition devrait calmer les inquiétudes des nations productrices d’or, dont un grand nombre sont des pays à faible revenu.
Le texte du FMI précise également que les articles de l’accord prévoient la vente au comptant de l’or aux prix fixés par le marché et que les gains puissent être utilisés pour annuler les dettes des pays pauvres. En 2005, les organisations de la société civile s’unissent sous la bannière de l’Appel mondial contre la pauvreté. Cette mobilisation internationale est le mouvement social international le plus important depuis le Jubilee.
Les organisations signataires de ce document appelaient en avril dernier les responsables des pays riches à s’engager en faveur de la vente effective des réserves d’or pour annuler la dette des pays dans l’incapacité à répondre aux critères du Millenium Development Goals d’ici 2015. Elles demandaient également que les gains ne servent pas seulement à annuler les dettes vis-à-vis du FMI mais également celles dont les créanciers sont les autres banques de développement multilatérales.  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

ASHLEY Brian

Position de la section africaine de Jubilee Sud sur la déclaration des ministres des finances du G7

http://www.liberationafrique.org/spi (...)

Traduction française d’un article paru sur le site Jubilee South.
Alors que les Ministres des Finances du G7 ont pris une décision, qui aurait dû intervenir depuis longtemps, pour annuler certaines des dettes multilatérales de 18 pays parmi les plus pauvres, ils ont en même temps renforcé leur contrôle sur ces pays, au détriment des citoyens de ceux-ci. C’est le résultat de la réunion des Ministres des Finances du G7, tenue les 10 et 11 juin 2005.  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

Campagna per la riforma della Banca Mondiale (CRBM), Initiative d’Halifax, Oxfam France - Agir Ici

Hors de contrôle ? La surveillance des institutions de Bretton Woods par les législateurs

> Octobre 2004, 34p., format Rtf, 244 Ko

http://aitec.reseau-ipam.org/spip.ph (...)

Basé sur une enquête menée auprès d’un échantillon d’Administrateurs et d’Administrateurs suppléants du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale issus d’un échantillon d’une première partie de pays, ce rapport vise ainsi à « aider les parlementaires à comprendre l’état actuel des relations entre les démocraties des pays développés sélectionnés et les institutions de Bretton Woods ».
Il analyse le déficit démocratique caractéristique de ces organisations, leur manque de transparence dans la prise de décision et la participation seulement formelle des sociétés civiles à cette prise de décision. En deux mots, il montre à quel point les IFI feraient ne suivent pas leur propres recommandations en matière de bonne gouvernance (transparence, responsabilité, participation).  lire

date de mise en ligne : 14 avril 2005

Association Internationale de Techniciens, Experts, Chercheurs (AITEC), MORTEAU Frédéric

Quelques commentaires sur le "Rapport présenté au Parlement sur les activités du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pour la période de juillet 2003 à juin 2004"

> AITEC, Octobre 2004

http://aitec.reseau-ipam.org/spip.ph (...)

Ce texte questionne les différents enjeux de la place et du rôle de la France au sein des Institutions financières internationales (IFI), en prenant soin de rappeler l’importance des pays membres dans la détermination des stratégies de ces instances et l’ambiguité des prises de position la France au sein de celles-ci (simples déclarations ou véritables stratégies de changement).
Le texte aborde ainsi les questions des Objectifs de développement du millénaire, de la résolution des crises financières et le traitement de la dette, du renforcement du système financier international, de la réforme de la gouvernance des institutions financières internationales et de la remise en cause des acquis sociaux par le FMI.  lire

date de mise en ligne : 22 décembre 2004

ZACHARIE Arnaud

Rôle des organisations internationales

http://france.attac.org/spip.php?art (...)

Présentations critiques de l’ONU (Organisation des Nations unies), du FMI (Fonds monétaire international), de la Banque mondiale, l’OMC (Organisation mondiale du commerce), du G7, de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord), de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) et du Forum de Davos.  lire

date de mise en ligne : 29 juillet 2004

TAVERNIER Yves

Les activités et le contrôle du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale

> Rapport d’information, enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 13 décembre 2000, 344p.

http://www.assemblee-nat.fr/legislat (...)

Ce se décompose en trois parties :
1. Comprendre les institutions financières internationales (historique, fonctionnement actuel, place de la France dans les IFI)
2. Critiquer les IFI (manque de démocratie, centralisation très forte, interventions et positionnement contestables, relation ambiguë avec les agences des Nations Unies)
3. Réformer les IFI (circonscrire leur mission, rompre avec le « Consensus de Washington », démocratiser leur fonctionnement, créer une politique européenne au sein des IFI  lire

date de mise en ligne : 2 juillet 2004

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