Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
> Le Passant ordinaire, n°40-41, mai 2002, septembre 2002
http://www.passant-ordinaire.com/rev (...)
Voici trois textes d’Edward Said rédigés et publiés au cours de la dernière période d’invasion des territoires de Cisjordanie par l’armée israélienne. Chronique de ces événements en même temps que réflexion sur leur contexte politique et leurs conséquences, ces articles restent d’une grande clarté quant à l’abus de langage et au dévoiement du sens qui caractérisent le traitement médiatique du conflit israélo-palestinien. lire
date de mise en ligne : 30 novembre 2004
dossier
http://www.obsarm.org/main/dossiers- (...)
Conflits
Conflits contemporains :
date de mise en ligne : 22 octobre 2004
dossier
> Dossier proposé par La documentation française, mai 2004
http://www.ladocfrancaise.gouv.fr/do (...)
L’arme nucléaire n’est pas une arme comme une autre en raison de sa puissance et de ses effets dévastateurs. Pour autant, son emploi n’a pas été jugé illicite en soi par la Cour internationale de justice qui a rendu un avis consultatif le 8 juillet 1996, à la requête présentée par l’Assemblée générale des Nations unies. "Au vu de l’état actuel du droit international, ainsi que des éléments de fait dont elle dispose, la Cour ne peut cependant conclure de façon définitive que la menace ou l’emploi d’armes nucléaires serait licite ou illicite dans une circonstance extrême de légitime défense dans laquelle la survie même d’un Etat serait en cause".
L’arme nucléaire fait cependant l’objet d’un régime juridique international particulier qui a un double but. Il vise d’’abord à en prévenir la prolifération au delà d’un cercle restreint d’Etats "dotés de l’arme nucléaire" : c’est l’objet du TNP (Traité sur la non-prolifération nucléaire) signé le 1er juillet 1968 et dont 187 Etats sont désormais signataires. Puis, il jette les bases de sa disparition progressive : réduction des capacités militaires, arrêt des essais nucléaires, par le biais du TICE ou CTBT (Traité d’interdiction complète des essais nucléaires), signé le 24 septembre 1996 et dont 158 Etats sont signataires. Mais au cours des dernières années, les progrès de la non-prolifération ont été remis en cause ; d’une part avec la montée de deux puissances nucléaires, l’Inde et le Pakistan, non signataires du TNP ; d’autre part avec la révélation de programmes nucléaires clandestins dans certains pays signataires.
L’avenir du nucléaire reste en débat : les abolitionnistes anti-nucléaires continuent de s’opposer aux partisans de la dissuasion, tandis qu’est apparu aux Etats-Unis un nouveau paradigme réduisant le rôle de la dissuasion nucléaire au profit d’autres formes de défense stratégique, notamment dans le contexte de la "guerre" contre le terrorisme ouverte après les attentats du 11 septembre 2001.
date de mise en ligne : 8 octobre 2004
http://osavoyat.free.fr/textes/bibli (...)
Bibliographie sélective sur l’humanitaire et l’aide humanitaire destinée à un public adulte et enfant.
Sommaire :
date de mise en ligne : 13 septembre 2004
> Peuples en marche, n°188, septembre 2003
A la fin des années 80, lorsque le bloc soviétique et le bloc occidental baissent la garde, "le monde pense que la course aux armements de plus en plus sophistiqués et meurtriers va cesser, que la construction de la paix pourrait progresser", expliquent Roger Abiven et Hervé Cadiou, fondateurs de l’Université européenne de la paix, une association brestoise d’éducation populaire affiliée à la Fédération des Clubs Unesco. Or, dans la région de Brest, très dépendante des activités militaires, certains en (...) lire
date de mise en ligne : 6 septembre 2004
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> Peuples en marche, n°193, mars/avril 2004
Aucun véritable débat, pas de liberté de la presse. Dans ces conditions, la Tchétchénie a été la grande absente de la campagne présidentielle russe. Une absence qui, paradoxalement, souligne l’enjeu que constitue la situation en Tchétchénie. Entretien avec Anne Le Huérou [1]. Peuples en marche - Quelle place a occupé la Tchétchénie dans la campagne pour les élections présidentielles russes ? Anne Le Huérou - Je crois qu’il est d’abord essentiel à souligner que les Russes ont eu affaire à une non-campagne. (...) lire
date de mise en ligne : 6 septembre 2004
> Peuples en marche, n°185, avril 2003
La forte mobilisation internationale, tant des opinions publiques et des sociétés civiles que de certains gouvernements ou chefs d’État, n’a pas empêché Georges W. Bush - et sa clique d’affairistes, mâtinée de fondamentalistes religieux - de partir à la guerre, non pas tant pour détruire un arsenal irakien déjà bien mal en point après douze ans de sanctions internationales (embargos...) et de bombardements, que pour “venger” les États-Unis et imposer sa loi impériale à tous ceux qui auraient la velléité (...) lire
date de mise en ligne : 24 août 2004
> Synthèse de mémoire de fin d’études à l’Institut universitaire de technologie de Tours
http://metamedias.blogspot.com/2000/ (...)
P. Alliot s’attache à comprendre les relations entre les médias et l’action humanitaire, à déterminer les rôles respectifs et les limites de chacun et à analyser comment fonctionne cette dualité aujourd’hui, comment elle est perçue à la fois par les humanitaires et par les journalistes, mais aussi comment ces deux activités sont conciliables. lire
date de mise en ligne : 21 août 2004
> Interview réalisée le 7 avril 2004
http://msf.fr/2008/08/06/890/genocid (...)
« Jean-Hervé Bradol, président de Médecins Sans Frontières, revient sur le génocide rwandais et sur ses implications pour les acteurs humanitaires. En 1994, Jean-Hervé, médecin de formation, était responsable des programmes de MSF France au Rwanda, et a passé plusieurs semaine à Kigali en renfort de l’équipe chirurgicale restée sur place pendant le génocide. » lire
date de mise en ligne : 19 août 2004
> Peuples en marche, n°184, mars 2003
Parce qu’elles sont les premières victimes de la guerre. Parce qu’elles s’unissent, travaillent ensemble, agissent au quotidien, cherchent à comprendre les racines historiques des conflits, les sociétés civiles inventent une nouvelle diplomatie. C’était le thème du séminaire “Paix et dialogue interculturel, vers des solutions pacifiques pour la résolution des conflits” organisé les 24 et 25 janvier, par le Secours Catholique sous l’égide du Crid (Centre de recherche et d’information pour le développement). En Irak, en Colombie, au Caucase, dans les Balkans ou en République Démocratique du Congo, les populations souffrent de combats, d’embargo, de pauvreté qu’elles n’ont ni voulu ni décidé. lire
date de mise en ligne : 19 août 2004
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