Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.
Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.
Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.
La Documentation française est une direction d’administration centrale des services du Premier ministre, placée sous l’autorité du Secrétaire général du Gouvernement. Elle exerce, depuis sa création en 1945, une mission de service public en matière d’information générale sur l’actualité politique, administrative, économique et sociale française, étrangère et internationale.
Pour ce faire, elle édite chaque année plus de 600 ouvrages ou périodiques et son catalogue général contient 7000 titres.
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Courriel : http://www.ladocumentationfrancaise...
Site : http://www.ladocfrancaise.gouv.fr/
> Dossier mis à jour en novembre 2004
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Il y avait dans le monde, au 1er janvier 2003, 10,6 millions de réfugiés, 25,8 millions de déplacés internes et 175 millions de migrants, leur majorité étant d’origine asiatique (Moyen-Orient compris) et africaine. Souvent considérée comme un problème uniquement humanitaire, la question des réfugiés et des déplacés fait face à une absence de réflexion globale et sur le long terme sur les causes et les conséquences de situations infiniment complexes et problématiques.
Le dossier se penche sur quelques situations emblématiques (conflits africains, réfugiés palestiniens, afghans et ex-Yougoslavie), revient sur les différents statuts existants depuis 1951 (migrant, réfugié, déplacé, apatride), les organisations en charge des réfugiés (le HCR, la Croix-Rouge, les ONG et l’Organisation internationale pour les migrations) et sur l’épineuse question du droit d’asile, notamment au sein d’une Union européenne de plus en plus restrictive, sinon répressive. Il propose également une série d’outils fort appréciables (textes de référence, chronologie, bibliographie, sélection de sites).
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date de mise en ligne : 10 mai 2005
> Dossier mis à jour en février 2005
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Génocide, crimes contre l’humanité : que faire face à des crimes que l’on pensait appartenir au passé et face auxquels les instruments juridiques existants semblent impuissants ? Certes un Tribunal pénal international ainsi que les tribunaux ad hoc étaient créés pendant ou après deux des conflits les plus meurtriers de ces dernières années, mais la question d’une justice pénale internationale effective demeure, notamment quant à la future Cour pénale internationale.
La Documentation française publie ici un dossier très complet comprenant une introduction historique et sémantique à la justice pénale internationale, une description des différentes juridictions existantes, et plus globalement les acteurs, les débats et les enjeux de la question. Il propose également des outils (chronologie, glossaire, biblio, sélection de sites) fort utiles.
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date de mise en ligne : 14 avril 2005
> Dossier proposé par La documentation française, mai 2004
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L’arme nucléaire n’est pas une arme comme une autre en raison de sa puissance et de ses effets dévastateurs. Pour autant, son emploi n’a pas été jugé illicite en soi par la Cour internationale de justice qui a rendu un avis consultatif le 8 juillet 1996, à la requête présentée par l’Assemblée générale des Nations unies. "Au vu de l’état actuel du droit international, ainsi que des éléments de fait dont elle dispose, la Cour ne peut cependant conclure de façon définitive que la menace ou l’emploi d’armes nucléaires serait licite ou illicite dans une circonstance extrême de légitime défense dans laquelle la survie même d’un Etat serait en cause".
L’arme nucléaire fait cependant l’objet d’un régime juridique international particulier qui a un double but. Il vise d’’abord à en prévenir la prolifération au delà d’un cercle restreint d’Etats "dotés de l’arme nucléaire" : c’est l’objet du TNP (Traité sur la non-prolifération nucléaire) signé le 1er juillet 1968 et dont 187 Etats sont désormais signataires. Puis, il jette les bases de sa disparition progressive : réduction des capacités militaires, arrêt des essais nucléaires, par le biais du TICE ou CTBT (Traité d’interdiction complète des essais nucléaires), signé le 24 septembre 1996 et dont 158 Etats sont signataires. Mais au cours des dernières années, les progrès de la non-prolifération ont été remis en cause ; d’une part avec la montée de deux puissances nucléaires, l’Inde et le Pakistan, non signataires du TNP ; d’autre part avec la révélation de programmes nucléaires clandestins dans certains pays signataires.
L’avenir du nucléaire reste en débat : les abolitionnistes anti-nucléaires continuent de s’opposer aux partisans de la dissuasion, tandis qu’est apparu aux Etats-Unis un nouveau paradigme réduisant le rôle de la dissuasion nucléaire au profit d’autres formes de défense stratégique, notamment dans le contexte de la "guerre" contre le terrorisme ouverte après les attentats du 11 septembre 2001.
date de mise en ligne : 8 octobre 2004
> Dossier d’actualité proposé par La Documentation française, septembre 2004
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« Au coeur de la question du développement, on trouve la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Premiers financiers du monde "en développement", ils sont souvent accusés d’être responsables des échecs du développement. » Qu’en est-il vraiment ?
Le dossier est composé de 8 parties :
Développement et mondialisation
date de mise en ligne : 7 octobre 2004
> Dossier proposé par la Documentation française, mars 2002
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Au cours des années quatre-vingt ont émergé, dans les pays les plus avancés, des questions éthiques, sociales et juridiques posées par les projets scientifiques et techniques, notamment dans le domaine de la procréation. Les premières lois de bioéthique ont été adoptées en France en 1994. C’est l’une d’entre elles, la loi "relative au don et à l’utilisation des éléments et produits du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal", qui fait l’objet d’une révision par le Parlement au début de l’année 2002, après que le gouvernement ait soumis son projet à l’avis de plusieurs instances dont le Comité consultatif national d’éthique et la Commission nationale consultative des droits de l’homme. lire
date de mise en ligne : 30 juillet 2004
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