bibliotheque internationale pour un monde responsable et solidaire ritimo

Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

index des mots clés  >  conflit  > article

Bateaux pour Gaza : un crime injustifiable

Communiqué L’assaut donné par les forces armées israéliennes à la flottille qui tentait de briser le blocus de Gaza a entraîné, parmi les militants, la mort d’une vingtaine de personnes et de nombreux blessés. Rien, absolument rien, ne peut justifier un tel déchaînement de violence à l’encontre de militants et de parlementaires qui apportaient aux Palestiniens de Gaza des biens de première nécessité. Après avoir infligé aux habitants de Gaza un assaut meurtrier, les asphyxiant par un blocus inacceptable, (...) lire

date de mise en ligne : 31 mai 2010

Gaza assiégée, pacifistes assassinés… Israël, criminel !

Communiqué du collectif national pour une paix juste et durable entre palestiniens et israéliens Dans la nuit de dimanche à lundi, l’armée israélienne a attaqué sauvagement la « Flottille de la liberté » pour Gaza, à bord de laquelle 700 militants internationaux et qui convoyaient 10 000 tonnes d’aide pour la Bande de Gaza sous blocus israélien. Selon les informations à notre disposition, plus de 19 militants ont été tués lors de l’attaque et des dizaines on été blessés. Le Collectif National pour une (...) lire

date de mise en ligne : 31 mai 2010

Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

Bande de Gaza - Point d’information du 20 janvier 2008

http://www.plateforme-palestine.org/ (...)

Cet article regroupe les communiqués et appels sur la situation à Gaza qui émanent des territoires palestiniens, de la société civile israélienne, de France, Europe et International. Ainsi qu’une sélection articles et les manifestations en solidarité avec la population de Gaza organisées en France.
- Retrouver aussi les points d’information du 16, du 13, du 9, du 8 et du 7 janvier  lire

date de mise en ligne : 20 janvier 2009

FANON-MENDES FRANCE Mireille

Les 6 premiers jours d’une vie ordinaire à Gaza... 6 jours de crimes de guerre....

http://www.reseau-ipam.org/spip.php? (...)

6 interminables journées de 24 heures pour les Palestiniens de la Bande de Gaza.
6 jours sans répit à ramasser les quelques 400 personnes assassinées par l’arméee d’occupation, à mener les 2 000 blessés dans les hôpitaux ou dispensaires, à courir après les médicaments de première nécessité pour que ces blessés ne s’ajoutent pas à la déjà trop longue liste des morts.
6 jours pour les survivants à tenter de trouver un endroit qui ne risque pas d’être bombardé par les F16 et les Apaches qui envahissent le ciel. ’Gaza has become a collection of isolated areas, where people are trapped in their homes for fear of being out on the streets. And, as it turns out, even homes are not safe. There is nowhere safe in Gaza.’ ainsi que le souligne Jaber Wishah du Palestinian Centre for Human Rights, basé à Gaza City.
6 jours de mobilisation spontanée dans de nombreux pays, du Sud au Nord.
6 jours où la communauté internationale montre une fois encore son incurie et autorise, par son silence et son incapacité à prendre la seule résolution nécessaire qui justifierait le rôle du Conseil de sécurité de l’ONU, la violation par l’Etat d’Israël de ses obligations au regard du droit humanitaire et plus précisement de la 4e Convention de Genève de 1949 qui assure protection aux personnes civiles en temps de guerre, signée par ce même Etat.
6 jours pendant lesquels la France, membre du Conseil de sécurité, ne trouve rien de mieux à faire que de demander à l’Etat attaquant une trêve de 48 heures pour acheminer de l’aide humanitaire. Certes, il faut de l’aide mais ce besoin est, ne l’oublions jamais, le résultat de l’occupation militaire illégale, réprouvée par de nombreuses résolutions de l’ONU, que subit depuis 60 ans le peuple palestinien. La France, dans ce cas présent, aurait été bien inspirée de respecter ses obligations au regard du droit international en proposant au Conseil de sécurité une résolution pour la condamnation de l’invasion israélienne en territoires palestiniens occupés.  lire

date de mise en ligne : 6 janvier 2009

Des organisations du Forum de la société civile congolaise face à l’aggravation de la crise humanitaire conséquente aux attaques du CNDP au Nord-Kivu

Communique de presse Les organisations non gouvernementales (ONG) du Forum de la société civile congolaise condamnent l’attaque contre la population civile par les éléments du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) et des Forces armées de la RDC (FARDC) ; de même qu’elles condamnent l’établissement d’une administration parallèle du CNDP dans le territoire de Rutshuru, et la localité de Kiwandja, dans le Nord-Kivu. L’acte du CNDP viole l’esprit et la lettre des différents accords de paix (...) lire

date de mise en ligne : 5 novembre 2008

WILLAME Jean-Claude

Point sur la situation critique en RDC

Au vu des tous récents développements en République Démocratique du Congo (menaces sur Goma et prise probable de Rutshuru par le CNDP), je me permets de vous envoyer en urgence le texte suivant : 1. En mai 2007, le Conseil de Sécurité adopte une résolution qui, pour la première fois, donne en mandat fort à la MONUC [1] désormais autorisée à utiliser la force pour venir à bout des bandes armées congolaises (y compris celle de Nkunda [2]) et étrangères (FDLR [3]). Plus question d’observation ou même de (...) lire

date de mise en ligne : 31 octobre 2008

AFPS

Moyen-Orient : L’eau et la paix dans la région

Dans le conflit arabo-israélien, il y a un dossier oublié, bien qu’il soit aussi important que les dossiers des frontières, de Jérusalem, des réfugiés et autres. Ce dossier est celui de l’eau. Là, il est important de rappeler que les objectifs israéliens concernant l’eau étaient un des facteurs de l’agression israélienne en juin 1967 et de l’invasion du Liban en 1982. Les objectifs réels de la guerre de 1967 ne sont plus un secret. En effet, celle-ci visait essentiellement à faire échouer les projets (...) lire

date de mise en ligne : 12 décembre 2007

Centre de Recherche sur la Mondialisation (CRM)

Le gouvernement turc autorise les incursions militaires au nord de l’Irak

> Peter Schwarz

Le gouvernement turc a autorisé son armée à traverser la frontière et à mener des opérations militaires en Irak. Un comité de crise dirigé par le président Abdullah Gül a donné la permission à l’armée le 9 octobre dernier d’intervenir contre le Parti kurde ouvrier (PKK) au nord de son voisin, l’Irak. Le bureau du premier ministre Recep Tayyip Ergodan a déclaré que le gouvernement avait en plus donné l’ordre que « toutes les mesures légales, économiques et politiques, y compris les opérations (...) lire

date de mise en ligne : 22 octobre 2007

AFPS

Un quart de siècle après, le massacre de Sabra et Chatila est toujours présent

Le 16 septembre, l’armée israélienne avait fini d’encercler Beyrouth- sud, y compris les camps de Sabra et Chatila et un ordre du haut commandement de l’armée israélienne autorisa l’armée libanaise à « fouiller et nettoyer » les camps. Le 16 septembre marque le 25ème anniversaire du massacre dans les camps de réfugiés de Sabra et Chatila au Liban. Durant les deux jours qu’a duré l’attaque on considère que 2,000 Palestiniens -surtout des femmes des enfants et des personnes âgées- ont été massacrés dans leurs (...) lire

date de mise en ligne : 18 septembre 2007

Tchad et Culture

Enfants soldats, le phénomène persiste

> n°258, juin 2007

Vers la fin de l’année dernière, un journal de la place a essuyé la foudre des autorités militaires pour avoir évoqué l’existence des enfants soldats dans les conflits sanglants que traverse notre pays. Aujourd’hui encore, loin de prendre fin, le phénomène risque de s’accentuer, tant les antagonismes guerriers demeurent tenaces. En signant un protocole d’accord avec l’Unicef le 9 mai dernier pour démobiliser environ 400 enfants soldats recensés au centre de formation de Mongo, le gouvernement Tchadien a (...) lire

date de mise en ligne : 9 août 2007

LEECH Gary

Colombie : la tournure inattendue du processus de démobilisation des paramilitaires

> Risal

Ç’aurait dû être facile, un simple processus de réinsertion des chefs des Autodéfenses Unies de Colombie (AUC) dans la société colombienne, leur permettant ainsi d’entrer dans l’arène politique. A l’origine, il était prévu que les chefs paramilitaires révèlent les emplacements de fosses communes et les noms de quelques politiciens ou officiers « voyous », morts ou emprisonnés ayant collaboré avec eux. Ces « révélations » passeraient pour des aveux, et comme les années écoulées dans une ferme au nord de la (...) lire

date de mise en ligne : 23 juillet 2007

MEYER Eric

Sri Lanka : les Tigres jouent la politique du pire

> Alternatives Internationales, "Chroniques du CERI", n° 31, juin 2006

http://www.ceri-sciencespo.com/archi (...)

Division entre Tamouls de l’est et du nord, contentieux sur la répartion de l’aide internationale post-tsunami : le retour des violences meurtrières prend encore les civils en otage.
Attentats suicides, assassinats, batailles navales, bombardements... Peut-on encore parler de cessez-le-feu à Sri Lanka ? Quatre ans après la signature d’un accord supposé mettre fin à dix-neuf ans de guerre (60 000 morts environ) et permettre des négociations de paix entre le gouvernement et les indépendantistes tamouls, la violence ne cesse d’augmenter.
La récente dégradation trouve ses racines dans deux événements. En mars 2004, le colonel Karuna, principal chef militaire des Tigres tamouls dans l’est de l’île, faisait sécession. Une première, car jusque-là les opposants au chef du mouvement, Vellupillai Prabhakaran, avaient rapidement été éliminés. La dissidence de Karuna s’appuie sur le mécontentement des Tamouls de l’Est, exaspérés de devoir fournir sans cesse de nouvelles recrues à un mouvement tenu par des Tamouls du Nord. Depuis sa défection, Karuna sert les intérêts du camp gouvernemental en se livrant à une guérilla sanglante contre les Tigres. Et ceux-ci accusent l’armée de le soutenir.
Le deuxième contentieux qui a aggravé les tensions entre les deux parties est lié au tsunami. Les régions tamoules ont été les plus touchées par la vague meurtrière, infrastructures des Tigres comprises. Ceux-ci entendaient se refaire grâce à l’aide internationale, mais n’ont pas réussi à trouver un accord sur la répartition des fonds internationaux avec le gouvernement dominé par les Cinghalais (74% de la population contre 18,1% de Tamouls et 7,6% de musulmans). Au-delà de l’aide, cette querelle fait écho au refus du gouvernement de concéder aux Tigres l’administration provisoire du nord-est de l’île en attendant un règlement de paix définitif. L’ex-présidente Chandrika Kumaratunga (1994-2005) en avait certes accepté le principe du bout des lèvres, mais n’a pu en imposer l’application à son propre camp.  lire

date de mise en ligne : 11 mars 2007

Haïti : une littérature florissante au milieu du chaos

> Claude Gilles, Syfia International, décembre 2006

Un ouvrage vendu à deux mille exemplaires est considéré comme un best-seller en Haïti. Minés par l’analphabétisme général et le faible pouvoir d’achat de leurs lecteurs, romanciers et essayistes, qui cumulent prix et distinctions en Amérique et en Europe, doivent souvent s’expatrier. Ils se nomment René Depestre, Dany Laferrière, Lyonel Trouillot, Frankétienne, Gary Victor, Edwidge Danticat... Tous récipiendaires de prix prestigieux qui font de la littérature haïtienne l’une des plus florissantes de la (...) lire

date de mise en ligne : 7 mars 2007

Le ralliement des régimes arabes « modérés » au plan Bush

> Saïd Mestir, article initalement paru dans "Kalima Tunisie", le 20 janvier 2007

http://www.legrandsoir.info/article. (...)

Parmi les conditions jugées fortement souhaitables à Washington pour assurer le succès du nouveau plan Bush, figure le ralliement, sinon la participation effective des régimes arabes dits modérés à sa réalisation. On peut considérer que c’est désormais un fait acquis. A la suite du dernier périple de Condolezza Rice au Moyen-Orient, on a vu l’Arabie Saoudite, l’Egypte, la Jordanie et les monarchies du Golfe proclamer, tour à tour, leur disposition à aider politiquement, financièrement et même militairement le gouvernement « légitime et démocratique » de l’Irak à assurer la stabilisation et la sécurisation du pays des deux fleuves et à préserver son intégrité territoriale.
Dans son discours de présentation du nouveau plan, le 10 janvier 2007 à la Maison-Blanche, le Président Bush, allant à l’encontre de l’opinion américaine et de la majorité au Congrès, n’a pas cru devoir tirer du fiasco irakien les mêmes conclusions que le rapport Baker-Hamilton. L’ouverture d’un dialogue politique avec Téhéran et Damas, recommandée par les deux vétérans de la diplomatie américaine, serait pour lui un signe de faiblesse. Sa ligne est à la fermeté voire à la confrontation. En 2001, c’était l’Afghanistan first, en 2003 ce fut l’Irak first et maintenant c’est l’Iran first : renforts navals au Golfe, dotation de missiles et anti-missiles Patriot, impatiences israéliennes et offensive médiatique.  lire

date de mise en ligne : 6 février 2007

Partenariat Afrique Canada (PAC)

Le coeur du problème : la Sierra Leone, les diamants et la sécurité humaine

> Ian Smillie, Lansana Gberie, Ralph Hazleton, Partenariat Afrique Canada, janvier 2000

Cette étude est issue d’une discussion entre les membres d’un groupe informel à Ottawa appelé le « Sierra Leone Working Group ». Réuni sous les auspices de Partenariat Afrique Canada (PAC), le groupe a conclu que les diamants étaient au coeur du conflit en Sierra Leone et qu’une économie de guerre hautement criminalisée avait acquis sa propre dynamique. Le groupe croyait qu’aucune paix ne saurait durer tant que les problèmes liés à l’extraction et à la vente des diamants n’auraient pas été réglés, tant (...) lire

date de mise en ligne : 5 février 2007

SOUSA SANTOS Boaventura de

« J’accuse les Australiens » : Boaventura de Sousa Santos dénonce le rôle de l’Australie dans la crise timoraise

Quatre ans après une indépendance très chèrement acquise, le Timor-Oriental est victime d’une grave crise de régime. Que la présidence, le gouvernement et le Fretilin, principal parti issu de la lutte de libération, portent ici une part de responsabilité n’aurait rien d’étonnant, tant les conditions d’exercice du pouvoir étaient difficiles dans un petit pays sorti socialement épuisé d’une occupation militaire indonésienne remarquable tant par sa durée (27 ans) que par sa brutalité (200.000 morts sur une (...) lire

date de mise en ligne : 1er février 2007

JEZEQUEL Jean-Hervé

Les enfants soldats en Afrique : un phénomène singulier ?

> Revue "Vingtième siècle. Revue d’histoire", n°89, janvier-mars 2006.

Dans le cas des conflits africains, la question de l’enfance en guerre a d’abord été l’apanage des organisations humanitaires. L’intérêt pour cette question est d’ailleurs relativement récent. Dans les années 1990, l’Afrique subsaharienne a été marquée par une longue série de conflits civils (au Libéria, en Sierra Leone, en Somalie, au Burundi, au Rwanda, au Congo, au Soudan, en Côte d’Ivoire, etc.). L’emploi massif d’enfants soldats constitue, pour l’opinion internationale, l’une des caractéristiques (...) lire

date de mise en ligne : 11 janvier 2007

BALIBAR Etienne , LEVY-LEBLOND Jean-Marc

Guerre en Orient ou paix en Méditerranée ?

Crise au Moyen-Orient

http://alternatives-international.ne (...)

L’origine d’un Etat ne détermine pas son destin, elle est toujours ouverte à plusieurs histoires, même si certaines - compte tenu des circonstances - paraissent après-coup plus probables que d’autres. Il arrive pourtant que l’accumulation des événements, leur interprétation dominante, les décisions prises (ou éludées) année après année, le jeu des intérêts et des idéologies qu’ils cristallisent, dessinent comme une tragique fatalité. Il faut alors un prodigieux effort d’imagination, soutenu par l’énergie du désespoir, pour concevoir une autre issue que la catastrophe.
* Paru dans "Le Monde" daté du 19 août 2006.  lire

date de mise en ligne : 23 août 2006

ACHCAR Gilbert

La guerre des 33 jours et la résolution 1701 du Conseil de Sécurité

> Alternatives International

http://alternatives-international.ne (...)

La résolution adoptée par le Conseil de Sécurité des Nations unies le 11 août 2006 n’a pleinement satisfait ni Israël ni Washington ni le Hezbollah. Cela ne signifie pas qu’elle est « juste et équilibrée », mais seulement qu’elle est l’expression temporaire d’une impasse militaire. Le Hezbollah n’est pas parvenu à infliger une défaite militaire majeure à Israël - possibilité exclue de toute façon par la disproportion des forces en présence, tout comme il avait été impossible à la résistance vietnamienne d’infliger une défaite militaire majeure aux Etats-Unis. Mais Israël non plus n’est pas parvenu à infliger au Hezbollah une défaite militaire majeure - ou même quelque défaite que ce soit, en réalité. En ce sens, le Hezbollah est sans doute aucun le véritable vainqueur sur le plan politique et Israël le véritable vaincu de cette guerre de 33 jours déclenchée le 12 juillet, et aucun discours d’Ehud Olmert ou de George W. Bush ne pourra contredire cette vérité flagrante.  lire

date de mise en ligne : 23 août 2006

WARSCHAWSKI Michel

Initiative 100% israélienne

Les bombardements quotidiens israéliens à Gaza sont la cause de la Guerre.C’est une guerre globale de recolonisation suite à une opération militaire menée de main de maître par l’organisation libanaise de résistance nationale Hezbollah, et la capture de deux prisonniers de guerre, l’armée israélienne a bombardé la capitale libanaise et de nombreux autres sites au sud du Liban. A l’heure où sont écrites ces lignes, le gouvernement israélien est en train de discuter de l’opportunité d’envahir le territoire (...) lire

date de mise en ligne : 18 juillet 2006

THIZY Delphine

Un tramway nommé coupable

> PARC, novembre 2005, PDF, 6p. (255.3 ko)

Le business, le libre-échangisme peuvent-ils tout justifier ? Le droit international doit-il être sacrifié sur l’autel de la concurrence ? Ce sont les questions que pose la participation de deux entreprises françaises dans l’exploitation du tramway de Jérusalem. La construction et l’exploitation de la première ligne de tramway de la ville qui desservira les colonies de Pisgat Ze’ev, de French Hill, les reliront au Mont Herzl via la route de Jaffa (dans le centre de la ville). La construction d’un tramway occasionne souvent des perturbations dans la vie des riverains, mais dans ce cas le problème est plus profond : symbolique, politique, il touche à la clé de voûte du règlement du conflit : Jérusalem, la ville trois fois sainte.  lire

date de mise en ligne : 30 novembre 2005

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