bibliotheque internationale pour un monde responsable et solidaire ritimo

Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

Gresea

Le Sud parle au Sud

> GRESEA Echos N°48, trimestriel : Octobre-Novembre-Décembre

Le Sud, c’est par où encore ? Là-bas, Madame, l’escalier de service, 2ème sous-sol, pas sûr que l’ampoule fonctionne encore. C’est émouvant. Oui, Monsieur, peut-être pourrions-nous envoyer une équipe de télévision, des colis alimentaires, trois pour le prix de deux, et puis quelques experts en bruitage médiatique. Ah, le Sud... Que d’horreurs sirupeuses en ton nom. C’est un créneau, un business. Charité business, ils disent les Anglais. Dans les pays du capitalisme avancé, des milliers de gens en vivent. (...) lire

date de mise en ligne : 18 octobre 2007

La Banque européenne d’investissement (BEI) dans les pays du Sud : au bénéfice de qui ?

En moins de 50 ans d’existence, la Banque européenne d’investissement (BEI) est devenue l’une des institutions financières internationales les plus puissantes du monde. Agissant au nom des citoyens européens et des gouvernements des Etats membres de l’Union européenne (UE) dont elle dépend, la BEI prête environ 45 milliards d’euros de fonds publics par an, au titre de projets censés aider au développement et à la cohésion de l’Union européenne (UE). Après avoir commencé à financer des projets en Afrique (...) lire

date de mise en ligne : 14 décembre 2006

GEMDEV

L’Etat en Afrique, indigénisations et modernité

> Cahier du GEMDEV n°24, Juin 1996, 207 pp.

http://www.gemdev.org/publications/c (...)

Ce dossier combine une pluralité d’acteurs et de points de vue et prend en compte la diversité des engagements aux côtés des Africains, des bailleurs de fonds aux organisations non gouvernementales en passant par la recherche internationale. Les contributions ont été regroupées autour des trois « besoins d’Etat » dont elles illustrent les implications.
On découvrira dans la première partie la diversité des conditionnalités, voire les divergences entre bailleurs de fonds, à la recherche d’une meilleure efficacité pour l’Etat africain. Ensuite, la deuxième partie montre progressivement que le « besoin de légitimité » ne peut être trouvé que par l’indigénisation de l’Etat. La légitimité est, selon une expression de Michèle Leclerc-Olive, une notion « transitive » qui ne peut bénéficier à l’Etat que par un phénomène de vases communiquants, à partir du vivrier des légitimités endogènes. Enfin, la troisième partie aborde la question de la sécurité, non moins mystérieuse puisque le plus souvent vécue, plutôt qu’expliquée, à partir d’un sentiment d’insécurité. Les diverses dimensions (physique, intellectuelle, existentielle, individuelle et collectives) de ce besoin de sécurité n’épuisent pas, tant s’en faut, une analyse que de nouvelles recherches doctorales devraient élargir.  lire

date de mise en ligne : 11 avril 2006

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