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Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

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Soutenez le "sommet des peuples" face au G20 de Cannes

« Les peuples d’abord pas la finance »

En 2011, la réunion du Sommet des chefs d’Etat du G20 se tiendra à Cannes les jeudi 3 et vendredi 4 novembre.

Le G20 est constitué de 20 pays parmi les plus riches au mépris de tous les autres. Il s’est autoproclamé garant de la stabilité économique et financière mondiale au lendemain de la tempête financière de 2008, mais n’a en rien protégé les peuples de cette grande crise. Au contraire, il a maintenu la dictature de la finance qui déploie son emprise sur tous les aspects de notre existence : logement, travail, éducation, agriculture, climat, retraites, connaissance, biodiversité... Par son action, il renforce les acteurs et les mécanismes à l’origine de ces crises, tout en faisant payer la note aux citoyens. Ils sont vingt mais nous sommes, ici et ailleurs, des centaines de milliers en lutte pour la paix, la démocratie, la justice sociale et écologique.

Des milliers d’entre nous, citoyens et citoyennes du monde, vont y faire entendre des voix alternatives et tenter de remettre la dimension humaine au cœur des discussions.

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Appel pour un 1er mai de refus du racisme et de la xénophobie

Le 1er mai 1995, Brahim Bouarram, 29 ans, profitait d’une journée ensoleillée. Il ne savait pas que des mains criminelles allaient le précipiter dans la Seine et mettre fin à ses jours. Les auteurs venaient de quitter le défilé du Front national. Seize ans plus tard, les discours de stigmatisation, de discrimination et de rejet de l’autre ont fait tache d’huile. Le Président de la République lui-même a osé montrer du doigt les Rom en les accusant de délits qu’ils n’avaient pas commis, demander que les Français naturalisés aient moins de droits que les Français de naissance, valider l’équivalence lepéniste entre immigration et insécurité. De loi Hortefeux en loi Besson, de traque des sans papiers en refoulement de demandeurs d’asile, de « débat » sur l’identité nationale en « débat » sur l’Islam et la laïcité, les gouvernants actuels ont pris la terrible responsabilité d’encourager la montée de l’intolérance et de la haine. A quelques mois d’échéances décisives, c’est le vivre ensemble démocratique qui est désormais menacé.

Nous, citoyens et organisations fidèles aux valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, ne supportons plus que la République soit ainsi défigurée, la laïcité instrumentalisée au service de la stigmatisation de millions de nos concitoyens, la xénophobie banalisée dans les propos de ministres et de députés qui prétendent parler en notre nom à tous.

Il est temps de dire notre refus de cette dérive dangereuse, de faire barrage à la lepénisation des esprits et des politiques. Oui, il faut barrer la route à l’extrême droite, barrer la route aux idées de haine qui ont tué Brahim Bouarram.

C’est pourquoi toutes les organisations qui, depuis le 4 septembre 2010, se sont réunies « contre la politique du pilori et contre la xénophobie » appellent à un rassemblement le 1er mai 2011, à Paris à 11h au pont du Carrousel et dans le plus grand nombre possible de villes de France :
- Pour rendre hommage à la mémoire de Brahim Bouarram et à toutes les victimes des crimes racistes
- Pour dénoncer les discours et les lois xénophobes qui mettent en danger les étrangers et discriminent les citoyens selon leurs origines ou leurs croyances
- Pour appeler à en finir avec tout ce qui, depuis des années, défigure la République.

RASSEMBLEMENT le 1er mai 2011, de 11h à 12h Pont du Carrousel Paris 75001

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Arrêter Fessenheim !

Ils n’ont pas arrêté Fukushima, arrêtons Fessenheim.

Le monde entier a vu exploser le bâtiment qui abrite le réacteur de Fukushima. Mis en service en 1970, c’est l’un des plus anciens au Japon. Il devait être fermé le mois dernier.

Mais, à la demande de l’opérateur Tepco, les autorités japonaises ont accordé un permis d’exploitation pour dix années de plus. On connait la suite : séisme de 8,9 sur l’échelle de Richter, arrêt automatique de la centrale, tsunami qui inonde les installations électriques de secours, échauffement puis fusion partielle du cœur : un scénario catastrophe qui a mis les "experts" en sûreté nucléaire en défaut.

En France, le réacteur le plus ancien est celui de Fessenheim.

Il a été construit à partir de 1970 en bordure du grand canal d’Alsace, entre Bâle et Strasbourg, dans une zone d’activité sismique. Il a été construit avec les normes anti-sismiques des années 60 qui sont très éloignées des normes actuelles.

En 2000, un rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire indiquait que certaines fonctions de sauvegarde assurant le refroidissement du réacteur pourraient ne plus être assurées en cas de séisme. Malgré la vétusté des installations et les risques sismiques, EDF a demandé à prolonger l’exploitation de la centrale. Un grand nombre d’élus et de citoyens s’y opposent.

Le 9 mars dernier, le tribunal administratif de Strasbourg a débouté les élus qui demandaient la fermeture de Fessenheim pour cause de vétusté et de dangerosité. Aurait-il prononcé le même jugement aujourd’hui ?

C’est dans quelques semaines que l’Autorité de Sûreté Nucléaire doit rendre son avis autorisant ou non une prolongation de l’exploitation du réacteur n°1 de la centrale de Fessenheim pour dix ans supplémentaires.

Après la catastrophe de Fukushima, il n’est plus acceptable de mentir sur les dangers du nucléaire, en particulier dans les zones sismiques. L’accident de Fukushima démontre que, même dans un pays réputé pour son expertise en matière nucléaire, le risque zéro n’existe pas.

La ministre de l’écologie explique que la centrale de Fessenheim a été construite pour résister au risque sismique maximal constaté sur les 1000 dernières années, augmenté d’une marge de sécurité. C’est avec les mêmes arguments que les Japonais ont prolongé l’exploitation du réacteur de Fukushima. Le désastre japonais démontre qu’il n’est plus possible de raisonner ainsi. Voilà pourquoi les signataires demandent l’arrêt immédiat de la centrale de Fessenheim.

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Gaz de schiste : non merci !

Sans aucune information, sans aucune consultation, le gouvernement français a offert, à des sociétés nationales et étrangères le droit d’explorer le sous-sol français à la recherche de gaz et de pétrole de schiste.

La technique pour ramener le gaz à la surface est nouvelle, délicate et surtout, désastreuse sur le plan environnemental. La « fracturation hydraulique horizontale », consiste à provoquer des failles à l’aide d’un liquide envoyé à très forte pression, pour libérer le gaz et le pétrole pris dans la roche compacte, à environ 2000 mètres de profondeur. Trois « ingrédients » sont nécessaires pour créer ces mini séismes : des quantités phénoménales d’eau (entre 15 000 et 20 000 m3), des produits chimiques (plus de 500) pour attaquer la roche et des micro-billes pour maintenir ouvertes les failles.

Aux Etats-Unis, le bilan de l’extraction de ces énergies fossiles est catastrophique : pollution massive des nappes phréatiques et de l’air, destruction des paysages et de milieux naturels, etc. Leur exploitation, en France, conduirait inéluctablement aux mêmes dégâts ainsi qu’à des émissions accrues de gaz à effet de serre, alors même que notre pays s’est engagé à les diviser par quatre.

Les autorisations de prospection sur plus de 10% du territoire ont été accordées sans débat sur les besoins énergétiques à moyen et long terme, sans discussion sur la nécessité de lutter contre le gaspillage, rechercher une meilleure efficacité énergétique et les alternatives renouvelables.

Pour toutes ces raisons, nous exigeons un débat public avec la société civile, les élus locaux et nationaux, pour dresser un inventaire complet des conséquences environnementales, sanitaires, économiques et sociales de cette « nouvelle folie industrielle ».

C’est pourquoi nous demandons un gel immédiat des prospections et la suspension des permis de recherche de gaz et pétrole de schiste sur l’ensemble du territoire français.

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Pétition : Stop aux restrictions du droit au séjour pour soins !

Etrangers, rentrez chez vous ! Vous trouverez bien des médicaments quelque part... La menace Besson plane depuis plusieurs mois maintenant sur la vie des étrangers malades résidant sur le territoire français, et elle pourrait très prochainement être mise à exécution. Dans une dizaine de jours (2 février 2011), les sénateurs commencent à examiner ce projet de restriction du droit au séjour pour soins ; un amendement qui mise sur la confusion pour imposer une politique xénophobe et inconsciente. AIDES et ses partenaires se mobilisent.

Les personnes étrangères gravement malades présentes sur le territoire français depuis plus d’un an peuvent bénéficier du droit au séjour pour soins si elles n’ont pas accès à un traitement dans leur pays d’origine. C’est écrit dans les textes de loi : cette mesure concerne les pathologies graves telles que les cancers, la séropositivité au VIH, le sida, les hépatites, dont l’absence de prise en charge "pourrait entraîner des conséquences d’une exceptionnelle gravité", à savoir un handicap sévère et un décès à plus ou moins brève échéance. Remettre en cause ce droit et mettre en péril la vie de milliers de personnes : il fallait donc oser. Mais rien n’effraye notre gouvernement, dont la témérité n’a d’égal que l’obstination.

Traitement disponible, mais pour qui ?

Monsieur Besson propose de renvoyer les malades dans leur pays d’origine si un traitement y est "disponible". Quoi de mieux pour alléger le territoire de ses indésirables puisque les antirétroviraux utilisés pour maîtriser le sida seraient en effet "disponibles" dans tous les pays d’Afrique.

Pourtant, seuls 30% des besoins en antirétroviraux sont couverts sur ce continent. Quantités insuffisantes, coûts exorbitants, absence de couverture sociale, éloignement géographique... La "disponibilité" des traitements apparaît particulièrement discutable, du point de vue de ceux qui n’ont même pas les moyens de se déplacer en ville.

L’immigration thérapeutique : un mythe !

Les études des professionnels et des associations en charge de la santé (InVS, Inserm, Comede...) sont unanimes : le nombre de personnes étrangères bénéficiant du droit au séjour pour soins sur le territoire français reste stable, le nombre de premières demandes est en baisse, et les personnes étrangères qui rejoignent la France pour raisons de santé représentent une infime partie de la population migrante.

Ainsi, en 2009, 28 000 personnes bénéficiaient du droit au séjour pour soins, soit 0,8% de la population étrangère seulement. Ce droit étant réservé aux personnes qui peuvent justifier d’un an de présence en France, les étrangers arrivés sur le territoire dans le but de se faire soigner pourraient d’ailleurs difficilement y prétendre.

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Ne laissons pas la France impunie, défendons les droits des Roms, en tant que citoyens européens

initiative Euroalter

Ne laissons pas la France impunie, défendons les droits des Roms en tant que citoyens européens. La Commission Européenne devrait être prête à sanctionner la France.

La Commission Européenne à donné jusqu’au 14 Octobre au gouvernement français de prouver l’application correcte de la loi européenne sur la liberté de circulation et la non discrimination envers les Roms. Si la violation des traités par la France, elle sera poursuivie par la Commission à la Cour Européenne de Justice. Il est de notre devoir de maintenir la pression pour une action forte contre la France et en défense des droits des citoyens européens.

Le 9 septembre 2010, le Parlement Européen a voté une résolution appelant l’arrêt des expulsions collectives par la France. Le 14 septembre, Viviane Reding, Commissaire Européenne à la Justice et aux Droits Fondamentaux, annonçait que la Commission serait prête à mettre en place des actions légales contre la France, si toute forme de discrimination collective contre les Roms était prouvée. Lire

Face à la xénophobie et à la politique du pilori : liberté, égalité, fraternité

Les plus hautes autorités de l’Etat ont fait le choix de jeter à la vindicte publique des catégories entières de population : Gens du voyage accusés comme les étrangers d’être des fauteurs de troubles, Français d’origine étrangère sur lesquels pèserait la menace d’être déchus de leur nationalité, parents d’enfants délinquants, etc. Voici que le président de la République accrédite aussi les vieux mensonges d’une immigration coûteuse et assimilée à la délinquance, et offre ainsi à la stigmatisation des millions de personnes en raison de leur origine ou de leur situation sociale.

Ce qui est à l’œuvre dans cette démarche ne s’inscrit pas dans le débat légitime, dans une démocratie, sur la manière d’assurer la sûreté républicaine. Le nécessaire respect de l’ordre public n’a pas à être utilisé pour créer des distinctions entre les habitants de ce pays et désigner des boucs émissaires. Ni pour instituer des peines de prison automatiques, contraires aux principes fondamentaux du droit pénal, à l’indépendance de la justice et à l’individualisation des peines.

La Constitution de la France, République laïque, démocratique et sociale, assure « l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ».

Nul, pas plus les élus de la nation que quiconque, n’a le droit de fouler au pied la Constitution et les principes les plus fondamentaux de la République.

Notre conscience nous interdit de nous taire et de laisser faire ce qui conduit à mettre en péril la paix civile.

Nous appelons à une manifestation le samedi 4 septembre 2010, place de la République à Paris, à 14h00, et partout en France, afin de fêter le 140e anniversaire d’une République que nous voulons plus que jamais, libre, égale et fraternelle.

Droit de regard dans les lieux d’enfermement

Depuis sa création Migreurop dénonce la multiplication des lieux d’enfermement pour étrangers que les Etats membres de l’Union Européenne mettent en place dans le cadre de plan de lutte contre l’immigration illégale. Ce phénomène concerne aussi bien les pays de l’Union Européenne que ceux situés hors de ses frontières et que l’Europe incite à « retenir » ou à « reprendre ». Les systèmes de détentions et d’éloignement des étrangers sont variables en fonction des pays mais on constate partout une généralisation de l’enfermement de personnes qui n’ont commis d’autres infractions que celles relatives à l’entrée et au séjour. Cette généralisation de l’enfermement des étrangers tend à être institutionnalisée par l’Union européenne notamment avec l’adoption, le 18 juin 2008, par le Parlement Européen de la directive « retour » qui valide des pratiques de détention des étrangers pour des durées démesurées.

Étrangers : silence on enferme !

Le ministère de l’immigration vient de faire paraître un appel d’offre relatif à « l’information en vue de l’exercice » des droits des étrangers dans les centres de rétention administrative suite à la publication d’un décret en date du 22 août 2008. Lire

Appel d’Orléans : un moratoire pour un printemps sans OGM

Les 26 et 27 février dernier, 16 organisations organisaient les Etats Généraux du Moratoire d’Orléans. A l’issue de ces deux jours de débats, elle ont lancé l’appel suivant :

Considérant : Qu’il n’y a pas aujourd’hui de cadre légal résultant d’un véritable débat public sur la question des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés) et de la responsabilité de ceux qui les disséminent,

Que la volonté de quelques opérateurs économiques d’imposer en 2007 la culture de plusieurs dizaines de milliers d’hectares de maïs transgénique s’oppose frontalement à la volonté de plus de 80 % des français qui ne veulent d’OGM ni dans les champs ni dans les assiettes, Que le seul maïs OGM actuellement cultivable en France, le MON 810, n’a jamais été évalué conformément au cadre européen imposé par la directive 2001/18 qui exige notamment une évaluation des effets cumulés à long terme sur la santé et l’environnement, et de plus que les conséquences de la culture de maïs OGM sur la situation écologique et agricole spécifique à chaque région française n’ont pas non plus été évaluées,

Que les préjudices qui en résulteraient pour les systèmes agraires traditionnels remettraient en cause leur pérennité,

Que de nombreuses publications scientifiques montrent que la généralisation des cultures de maïs transgéniques entraîne obligatoirement la disparition de la liberté d’élever des abeilles sans risque de contamination et de cultiver sans OGM des maïs conventionnel, doux et biologique, tout particulièrement celle des petits paysans cultivant de petites parcelles,

Que l’intérêt majeur des PGM (Plantes Génétiquement Modifiées) est le brevet qui permet à quelques entreprises semencières d’interdire aux paysans de sélectionner leurs propres semences à partir de leur récolte et de leur imposer l’achat des pesticides liés à la culture des variétés qu’elles vendent,

Que l’intérêt économique de l’agriculture française réside avant tout dans sa capacité à répondre à la demande des consommateurs qui veulent des produits sans OGM, et qu’elle se ruinerait en prenant le moindre risque de perdre leur confiance,

Conformément au souhait de la majorité des français, Conformément au moratoire déjà pris par le gouvernement français pour interdire les cultures de colza transgénique sur le territoire national,

Conformément aux votes de la France et de la majorité qualifiée des États européens reconnaissant le bien fondé des moratoires autrichiens et hongrois,

Conformément au principe de précaution inscrit dans la Constitution au travers de la Charte de l’Environnement,

Les délégués participant aux premières rencontres des États Généraux du Moratoire réunis à Orléans les 26 et 27 février 2007 :

  • exigent que le gouvernement adopte immédiatement un moratoire sur les cultures GM comme le lui permet la clause de sauvegarde prévue à l’article 23 de la directive 2001/18,
  • demandent aux élus locaux et régionaux d’exiger ce moratoire, vu l’interdiction qui leur est faite de prendre les mesures locales nécessaires à l’interdiction de ces cultures,
  • demandent aux parlementaires de faire les démarches nécessaires auprès du gouvernement pour qu’il notifie cette décision de moratoire à la Commission européenne,
  • demandent au gouvernement d’exiger l’application du moratoire aux niveaux européen et international

Etat d’urgence planétaire : votons pour une France solidaire !

initiative CRID

Depuis 20 ans, le Crid mène des campagnes d’opinion à l’approche des échéances électorales afin de mettre la solidarité internationale dans le débat public grâce à la mobilisation de ses organisations membres et de leurs militant(e)s.

Il s’agit de faire en sorte que le maximum de citoyen(ne)s inscrive la solidarité internationale dans sa réflexion à l’approche du vote. Il s’agit également d’inciter les partis politiques à intégrer les questions de solidarité internationale dans leur programme, puis pour les élu(e)s, de vérifier la mise en œuvre de leurs engagements.

Cette campagne est menée en complémentarité avec, d’une part la démarche de Coordination SUD sur la politique de coopération internationale de la France et la place des ONG dans celle-ci, et d’autre part l’alliance des organisations écologistes sur les questions environnementales.

  • Télécharger le Guide pratique de la campagne
    Ce document de 36 pages propose :
    - une présentation accessible des 11 thèmes de la campagne ainsi que de nombreuses ressources documentaires (ouvrages, articles, films, musique) ;
    - des conseils pour mener des actions d’éducation au développement / média / plaidoyer ;
    - un aperçu de quelques autres campagne ou initiatives pré-électorales ;
    - un agenda national et international

OMC : 10 ans ça suffit !

Afin que la 6ème conférence ministérielle de l’organisation mondiale du commerce (13-18 décembre) ne débouche pas sur un accord qui consacrerait la primauté du droit du commerce sur les droits économiques, sociaux et environnementaux, 24 organisations françaises se mobilisent autour de « OMC, 10 ans ça suffit ! ». La campagne a débuté le 12 novembre 2005.

Pour plus d’informations : http://www.omc10anscasuffit...

Site de la campagnehttp://www.omc10anscasuffit.ouvaton.org/

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