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Le portail rinoceros d’informations sur les initiatives citoyennes pour la construction d’un autre monde a été intégré au nouveau site Ritimo pour une recherche simplifiée et élargie.

Ce site (http://www.rinoceros.org/) constitue une archive des articles publiés avant 2008 qui n'ont pas été transférés.

Le projet rinoceros n’a pas disparu, il continue de vivre pour valoriser les points de vue des acteurs associatifs dans le monde dans le site Ritimo.

Pétition : STOP aux pratiques d’achat abusives des supermarchés !

initiative cyberacteurs

PARCE QUE LES BANANES ET LES ANANAS NE SIGNERONT PAS DE PÉTITION A NOTRE PLACE…

En signant cette pétition, vous exigez une révision de la législation de la concurrence en Europe pour limiter les conséquences dévastatrices de l’inégalité de pouvoir dans les filières bananes et ananas, entre les supermarchés et leurs fournisseurs.

Nous reconnaissons que la Commission européenne cherche à améliorer les pratiques d’achat des distributeurs européens, mais nous demandons instamment qu’elle s’assure que le Code de conduite actuellement en voie d’adoption :

soit correctement appliqué et soumis à un contrôle indépendant grâce à la mise en place d’un « ombudsman » (médiateur) ou d’un autre mécanisme adéquat s’applique aux fournisseurs non-européens et indirects de façon à leur permettre de saisir le mécanisme de contrôle en place contre les pratiques abusives de la grande distribution.

Nous exhortons également la Commission européenne à engager une révision complète du droit de la concurrence pour mettre fin aux abus de pouvoir des supermarchés, qui nuisent aux travailleuses et travailleurs des pays producteurs.

Pour des filières d’approvisionnement plus justes pour les travailleurs-ses, les petit-e-s exploitant-e-s et leurs communautés, l’Union européenne doit s’attaquer au pouvoir des supermarchés et réguler leurs pratiques d’achat.

Signer la pétition sur Cyberacteurs

Signez la pétition en ligne "Stop au nouvel accaparement des ressources du Sud par l’UE !"

Beaucoup de pays en développement sont riches en matières premières. Pendant des siècles, ils ont exporté leurs matières premières sous forme brute, à faible valeur ajoutée. Ils ont vu leurs ressources s’épuiser et ont subi d’importants dommages environnementaux sans que l’exploitation de leurs ressources ne profitent aux populations locales. Maintenant, nombres d’entre eux veulent changer de stratégie.

Mais la nouvelle politique commerciale de l’UE sur les matières premières sape les efforts des pays en développement pour développer leurs économies dans l’intérêt de leur population et lutter contre les inégalités et la pauvreté. Cette politique va empêcher les pays en développement d’exercer leur contrôle sur leurs ressources naturelles ainsi que de garantir des prix justes pour l’exploitation de leurs matières premières.

L’Aitec, membre d’une coalition d’associations européennes, fait campagne pour des règles commerciales justes qui respectent pleinement la liberté des pays en développement de choisir leur propre politique économique au profit de leur population et de l’environnement.

Rejoignez cette campagne à travers l’Europe et agissez maintenant ! Dîtes à l’UE d’arrêter sa nouvelle politique d’accaparement des ressources.

La Commission européenne définit actuellement sa nouvelle politique sur le Commerce et le Développement et a lancé une consultation publique sur cette question. De nombreux lobbies industriels vont utiliser cette consultation pour s’assurer que cette politique défendra leurs intérêts afin qu’ils puissent continuer à profiter de l’exploitation à bas prix et sans limite des matières premières de ces pays. Nous voulons nous assurer que la Commission européenne entende également l’autre côté, celui de l’intérêt des pays en développement, et nous sollicitons votre aide.

Signez la pétition sur l’Aitec

« Affaire DAEWOO » Défense des Terres Malgaches

Ayant suivi les informations relatives à l’affaire Daewoo à Madagascar, à propos de laquelle ni le gouvernement malgache, ni la société Daewoo n’ont démenti la surface des terres cultivables engagée (1,3 million d’ha), l’absence de compensation financière pour le prix du bail emphytéotique de 99 ans, la nature des plantations prévues – maïs issu probablement d’OGM dans la région Ouest et palmiers à huile dans la région Est,

Je, soussigné, soutiens l’ensemble des revendications du Collectif pour la Défense des Terres Malgaches (réseau citoyen et indépendant des appareils politiciens) exigeant que les autorités malgaches

- fassent preuve de transparence totale sur l’affaire Daewoo : termes du contrat, état actuel des autorisations d’acquisitions de terrains dans chaque district,

- arrêtent toutes les procédures en cours et annulent toutes les autorisations déjà accordées

- et informent la population malgache de toutes les « affaires » similaires signées ou en cours avec d’autres sociétés ou pays étrangers.

- Pour en savoir plus et signer : http://terresmalgaches.info/spip.ph...

- Lire aussi Main basse sur les terres agricoles en pleine crise alimentaire et financière et Le nouveau Monopoly des terres agricoles

Désarmer pour combattre la pauvreté

La lutte contre la pauvreté fait partie des grandes priorités stratégiques actées par l’ensemble de la communauté internationale dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement.

Dans un espace globalisé, les défis humains et économiques que pose la persistance d’une pauvreté massive concernent autant le Nord que le Sud. Partout dans le monde, la lutte contre la pauvreté participe du combat contre les humiliations, de la réduction des inégalités et de l’activation des droits fondamentaux qui sont au cœur des dynamiques de construction de la démocratie et de la paix.

A tous égards, la réalisation des engagements de lutte contre la pauvreté est donc pour tous les Etats signataires, une obligation morale et politique. Une obligation qui impose notamment de dégager les moyens nécessaires.

OMC : 10 ans ça suffit !

Afin que la 6ème conférence ministérielle de l’organisation mondiale du commerce (13-18 décembre) ne débouche pas sur un accord qui consacrerait la primauté du droit du commerce sur les droits économiques, sociaux et environnementaux, 24 organisations françaises se mobilisent autour de « OMC, 10 ans ça suffit ! ». La campagne a débuté le 12 novembre 2005.

Pour plus d’informations : http://www.omc10anscasuffit...

Site de la campagnehttp://www.omc10anscasuffit.ouvaton.org/

Make Trade Fair

Make Trade Fair est un mouvement réuni contre les règles commerciales injustes. Il est organisé par Oxfam International et fait partie du Global Call to Action Against Poverty. Il appelle les gouvernements, les institutions et les multinationales à changer les règles de manière à ce que le commerce soit une solution à la pauvreté ; Make Trade Fair rassemble The Big Noise (campagne de pétition) et d’autres campagnes comme Vote for Trade Justice et Tescopoly.

Arrêtez les accords de libre-échange ACP-UE

Depuis 2002, l’Union européenne (UE) et les pays de l’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) négocient des Accords de Partenariat Economique (APE) dans le cadre de l’Accord de Cotonou. Ces APE visent à conclure de « nouveaux accords commerciaux compatibles avec les règles de l’OMC en supprimant progressivement les entraves aux échanges » entre l’UE et les pays ACP, en se fondant sur « les initiatives d’intégration régionale des Etats ACP » et en encourageant « le développement durable et en contribuant à l’éradication de la pauvreté dans les pays ACP ». Mais l’UE a réduit les objectifs d’éradication de la pauvreté et de développement durable de l’Accord de Cotonou de sorte qu’ils ne servent que ses propres intérêts de libéralisation du commerce et de l’investissement. Les APE augmenteront la domination et la concentration des entreprises, des biens et des services européens. Par conséquent, les APE aggraveront - et prolongeront - le déclin socio-économique et la fragilité politique qui caractérisent la plupart des pays ACP. Pour les pays ACP, des APE fondés sur des accords commerciaux réciproques n’ont aucun sens sur le plan économique ou du développement.

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