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Banque mondiale

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articles

Copenhague est passé, la Banque mondiale accorde des milliards au charbon

Malgré l’opposition massive de la société civile dans le monde, et l’abstention de cinq pays (1), la Banque mondiale a d’approuvé hier un prêt de 3,75 milliards de dollars pour la société sud-africaine Eskom. Ce financement servira principalement à la construction de la méga centrale à charbon de Medupi, qui sera l’une des plus polluantes au monde. Les Amis de la Terre condamnent fermement ce soutien à un projet dramatique pour l’environnement et qui maintient un apartheid énergétique dans le pays. (...) lire

date de mise en ligne : 12 avril 2010

Le CADTM appelle à la destitution de Paul Wolfowitz et à une nouvelle architecture institutionnelle internationale

La situation est de plus en plus inextricable pour le président de la Banque mondiale, Paul Wolfowitz. Il s’avère que selon les conclusions de la commission spéciale de la Banque mondiale chargée de faire la lumière sur les accusations de népotisme à son encontre, Paul Wolfowitz aurait bel et bien violé le règlement de la Banque mondiale en accordant une augmentation de salaire de +45% à sa compagne, Shaha Riza. En outre, suite à ce scandale, Kevin Kellems, l’un de ses principaux conseillers, vient de (...) lire

date de mise en ligne : 9 mai 2007

BAMBOU François

Réforme du FMI : tout bouge pour que rien ne change

> CADTM, septembre 2006

Les réformes internes menées traduisent sa volonté d’acquérir davantage de légitimité dans le monde, sans pour autant changer sa nature d’instrument au service et aux mains d’une minorité de pays dits riches. Plutôt que de résoudre la question de la marginalisation qui frappe les pays du Sud, la reforme du Fonds monétaire international engagée à Singapour, à l’occasion des assemblées annuelles du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pourrait simplement contribuer à creuser davantage le (...) lire

date de mise en ligne : 26 septembre 2006

De Chavez et Lula, c’est Lula le populiste

> Entretien avec Eric Toussaint

http://www.cadtm.org/spip.php?articl (...)

Eric Toussaint, historien et politologue, est président du Comité pour l’annulation de la dette du Tiers-monde (CADTM) et membre d’Attac. Il est enthousiaste à l’égard des gouvernements de Hugo Chávez au Venezuela et de Evo Morales en Bolivie, mais est implacable dans la critique de Luis Ignacio Lula da Silva, président du Brésil. Co-auteur du livre « 50 questions, 50 réponses sur la dette, le FMI et la Banque mondiale » récemment paru au Brésil aux éditions Boitempo, il accuse le président Lula de populisme, un populisme basé sur son plan d’assistance aux familles les plus pauvres [1] alors que dans le même temps, le gouvernement applique une politique conforme au consensus de Washington. Dans une interview par téléphone avec O Globo [2], il affirme que c’est le moment idéal pour les pays émergents d’obliger les créanciers du Nord à la renégociation du principal fardeau affectant les pays émergents qu’est la dette externe.  lire

date de mise en ligne : 12 juillet 2006

FREUD Claude

La Banque mondiale n’a plus d’argent, mais elle a des idées

> Cahiers d’études africaines,157, 2000

http://etudesafricaines.revues.org/d (...)

Ce rapport de la Banque mondiale propose de rendre plus efficace l’aide aux pays en voie de développement, dans une conjoncture de baisse des transferts financiers d’aide publique, sur la base de trois principes : l’adoption du modèle libre-échangiste, la démocratisation et la bonne gestion des affaires publiques. Si la préoccupation revient aux problèmes de développement, après vingt années d’accent mis sur l’ajustement structurel, il apparaît à l’examen des solutions préconisées que cet exercice est avant tout une tentative de justifier les politiques passées et de légitimer le rôle prééminent de la Banque mondiale dans l’aide au développement.  lire

date de mise en ligne : 8 juin 2006

LEFRANCOIS Fabien, WILKS Alex

Le savoir de la Banque : Science infuse ou vrai débat ?

Comment les analyses de la Banque mondiale déterminent les politiques de réduction de la pauvreté

> Bretton Woods Project, 2002, 46pp

http://www.brettonwoodsproject.org/t (...)

Ce rapport analyse l’influence de la Banque mondiale dans le débat sur les modèles de développement. Il expose les domaines dans lesquels la Banque mène des évaluations et la manière dont les ONG et les chercheurs indépendants pourraient faire davantage pour les influencer ou rivaliser avec elles dans les domaines qu’ils jugent importants.  lire

date de mise en ligne : 6 décembre 2005

ALBALA Nuri, Groupe ONU d’Attac

L’ONU, les institutions financières de Bretton Woods et l’OMC : la volonté de dissocier le politique de l’économie

> Chapitre 10, ONU : droits pour tous ou loi du plus fort ? : Regards militants sur les Nations unies, CETIM, Genève, 2005, 12p., RTF

Le divorce entre les peuples et l’organisation politique en charge de les représenter s’est accompagné d’un autre divorce : celui entre le politique et l’économique. Si la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, à l’origine agences des Nations unies, se sont affranchis de cette tutelle, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ne fait aucune référence à l’ONU dans ses statuts et les textes applicables à l’OMC et spécialement dans son tribunal (l’ORD) ne prennent pas en compte les documents des Nations unies. Il s’agit d’une véritable remise en question de son autorité et une violation de la souveraineté des peuples.

 lire

date de mise en ligne : 2 décembre 2005

AAJ, CETIM

« Lutte contre la pauvreté » : l’alibi des mondialisateurs

> Intervention au point 10 de la Commission des droits de l’homme 2005 : droits économiques, sociaux et culturels. Déclaration écrite conjointe du CETIM et de l’AAJ

http://www.cetim.ch/fr/interventions (...)

Les données statistiques de la Banque mondiale sur la pauvreté comportent des incorrections qui révèlent l’ambiguïté notoire du discours sur la pauvreté. Ces incorrections, loin d’être une première, sont liées d’une part à la volonté de la Banque mondiale de présenter un bilan plus positif de sa stratégie pour réduire la pauvreté de moitié d’ici 2015 et d’autre part à la complexité du concept de pauvreté. Toute appréhension de la pauvreté doit tenir compte de la double réalité du sujet : réalité pénible et fait social. Aujourd’hui, les institutions multilatérales sont en retrait sur cette réalité. Elles font de la lutte contre la pauvreté leur grande priorité occultant de ce fait le développement. Or, la lutte contre la pauvreté ne conduit ni au développement ni à la réduction des inégalités. C’est pourquoi, une reforme des institutions de Bretton Woods s’impose.  lire

date de mise en ligne : 11 juillet 2005

Caritas Internationalis, CIDSE

Une réforme longtemps attendue ?

Fonds monétaire international, Banque mondiale, et gouvernance économique mondiale 60 ans plus tard

> Document de travail de la CIDSE et Caritas Internationalis, Aldo Caliari, April 2005, PDF (290 Kb), 16 p.

http://www.cidse.org/uploadedFiles/P (...)

Soixante ans après la création du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, leur rôle, de même que leurs relations avec d’autres acteurs clefs tels que les Nations Unies, est plus que jamais remis en question. La CIDSE et Caritas Internationalis en appellent à revoir sérieusement leur rôle dans une architecture de gouvernance mondiale qui doit s’adapter à la promotion du bien commun.  lire

date de mise en ligne : 11 juillet 2005

AFRODAD, CIDSE, Eurodad, Initiative d’Halifax, Jubilee USA

Vendre l’or du FMI pour annuler la dette : il est temps de décider

> Rapport en anglais, avril 2005, 9 pp., PDF

http://www.eurodad.org/uploadedFiles (...)

(traduction du résumé préliminaire, rinoceros) La dette due au FMI, à la Banque mondiale et à d’autres institutions multilatérales s’est accrue rapidement ces dernières années et ces institutions sont à présent les principaux créanciers des pays les plus pauvres du monde. La dette multilatérale peut être extrêmement coûteuse pour des pays dans l’incapacité de rembourser et qui ont déjà du mal à assurer les besoins essentiels de leur population.
Chaque année six millions d’enfants meurent de malnutrition avant leur cinquième anniversaire. Chaque jour huit cents millions de personnes se couchent en ayant faim et vingt-quatre mille en meurent. Le SIDA tue plus de deux millions de personnes chaque année, allongeant ainsi la liste des milliers d’orphelins dans les pays en développement.
Les organisations de la société civile dans le monde demandent depuis longtemps que les immenses réserves d’or du FMI - totalement sous-évaluées - soient utilisées pour financer l’allègement ou même l’annulation de la dette des pays les plus pauvres. Aujourd’hui, après des années de lutte, la viabilité de cette proposition a été formellement reconnue par le FMI dans un texte qui établit clairement qu’il est possible de vendre de grandes quantités de ces réserves sur le marché international sans impact négatif sur les cours mondiaux de l’or. Les ventes d’or pourraient être organisées dans le cadre d’un accord existant de la Banque centrale (Central Bank Gold Agreement). Cette disposition devrait calmer les inquiétudes des nations productrices d’or, dont un grand nombre sont des pays à faible revenu.
Le texte du FMI précise également que les articles de l’accord prévoient la vente au comptant de l’or aux prix fixés par le marché et que les gains puissent être utilisés pour annuler les dettes des pays pauvres. En 2005, les organisations de la société civile s’unissent sous la bannière de l’Appel mondial contre la pauvreté. Cette mobilisation internationale est le mouvement social international le plus important depuis le Jubilee.
Les organisations signataires de ce document appelaient en avril dernier les responsables des pays riches à s’engager en faveur de la vente effective des réserves d’or pour annuler la dette des pays dans l’incapacité à répondre aux critères du Millenium Development Goals d’ici 2015. Elles demandaient également que les gains ne servent pas seulement à annuler les dettes vis-à-vis du FMI mais également celles dont les créanciers sont les autres banques de développement multilatérales.  lire

date de mise en ligne : 1er juillet 2005

Campagna per la riforma della Banca Mondiale (CRBM), Initiative d’Halifax, Oxfam France - Agir Ici

Hors de contrôle ? La surveillance des institutions de Bretton Woods par les législateurs

> Octobre 2004, 34p., format Rtf, 244 Ko

http://aitec.reseau-ipam.org/spip.ph (...)

Basé sur une enquête menée auprès d’un échantillon d’Administrateurs et d’Administrateurs suppléants du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale issus d’un échantillon d’une première partie de pays, ce rapport vise ainsi à « aider les parlementaires à comprendre l’état actuel des relations entre les démocraties des pays développés sélectionnés et les institutions de Bretton Woods ».
Il analyse le déficit démocratique caractéristique de ces organisations, leur manque de transparence dans la prise de décision et la participation seulement formelle des sociétés civiles à cette prise de décision. En deux mots, il montre à quel point les IFI feraient ne suivent pas leur propres recommandations en matière de bonne gouvernance (transparence, responsabilité, participation).  lire

date de mise en ligne : 14 avril 2005

Association Internationale de Techniciens, Experts, Chercheurs (AITEC), MORTEAU Frédéric

La réforme de la gouvernance des institutions financières internationales bloquée par les Etats-Unis

> AITEC, Octobre 2004, extrait de « Quelques commentaires sur le "Rapport présenté au Parlement sur les activités du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pour la période de juillet 2003 à juin 2004" »

L’introduction mentionne « un engagement dans l’amélioration de (la) gouvernance » du FMI et de la Banque mondiale. Le chapitre consacré à la gouvernance des deux institutions examine d’abord leurs processus budgétaires et leurs politiques salariales. On ne peut qu’approuver un nouveau souci de maîtrise budgétaire appliqué au FMI et à la Banque mondiale, grands donneurs de leçons en la matière, alors que le rapport signale une augmentation annuelle moyenne du budget du FMI de 7 % depuis 1993 et un (...) lire

date de mise en ligne : 23 février 2005

Association Internationale de Techniciens, Experts, Chercheurs (AITEC), MORTEAU Frédéric

Quelques commentaires sur le "Rapport présenté au Parlement sur les activités du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pour la période de juillet 2003 à juin 2004"

> AITEC, Octobre 2004

http://aitec.reseau-ipam.org/spip.ph (...)

Ce texte questionne les différents enjeux de la place et du rôle de la France au sein des Institutions financières internationales (IFI), en prenant soin de rappeler l’importance des pays membres dans la détermination des stratégies de ces instances et l’ambiguité des prises de position la France au sein de celles-ci (simples déclarations ou véritables stratégies de changement).
Le texte aborde ainsi les questions des Objectifs de développement du millénaire, de la résolution des crises financières et le traitement de la dette, du renforcement du système financier international, de la réforme de la gouvernance des institutions financières internationales et de la remise en cause des acquis sociaux par le FMI.  lire

date de mise en ligne : 22 décembre 2004

HIBOU Béatrice

Banque mondiale : les méfaits du catéchisme économique

> in Politique africaine n°71, octobre 1998, pp. 58 à 74, extrait d’un article initialement publié dans les Etudes du CERI, n°39, mars 1998 et dans Esprit, avril-septembre 1998

Résumé : « Depuis les années 1970, les institutions de Bretton Woods ont acquis une hégémonie, voire un monopole dans la pensée économique : les pays ou organisations internationales les plus critiques envers ce courant d’idée, à commencer par la France et l’Union européenne, se sont peu à peu alignés sur cette conception libérale du développement. Si les crises asiatique et russe ont déclenché de violentes attaques contre le FMI et la Banque mondiale, les africanistes restent les premiers à critiquer les (...) lire

date de mise en ligne : 5 août 2004

CLING Jean-Pierre, RAZAFINDRAKOTO Mireille, ROUBAUD François

La Banque mondiale et la lutte contre la pauvreté : tout changer pour que tout reste pareil ?

> Document de travail DIAL (Développement et Insertion internationale), unité de recherche CIPRE (Croissance, Inégalités, Population et rôle de l’Etat) de l’IRD (Institut de recherche pour le développement), Mai 2002, 13p.

http://www.dial.prd.fr/dial_publicat (...)

Résumé : « La Banque mondiale et le Fonds monétaire international ont lancé fin 1999 une initiative conjointe qui place la lutte contre la pauvreté au cœur des politiques de développement. Depuis cette date, les pays en développement qui souhaitent bénéficier d’une aide financière à taux concessionnels de la part de ces organisations ou d’un allègement de leur dette dans le cadre de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) « renforcée » doivent préparer un programme de lutte contre la pauvreté (en français DSRP, ou Document Stratégique de Réduction de la Pauvreté). La quasi-totalité des pays à bas revenus suivent aujourd’hui cette nouvelle approche, tandis que l’ensemble de la communauté internationale s’est rapidement aligné sur ces orientations. Sans négliger les nombreuses difficultés et contradictions auxquelles elles sont confrontées, notre analyse souligne les apports de ces nouvelles stratégies : changement d’objectif des politiques (au moins en principe), dans la mesure où la lutte contre la pauvreté -et non plus l’ajustement structurel - est placée au premier plan ; renforcement potentiel de la démocratie à travers la mise en place de processus participatifs de définition des politiques ; accroissement de la cohérence entre les donateurs. »  lire

date de mise en ligne : 5 août 2004

PEÑAFIEL Ricardo

L’analyse du discours de lutte contre la pauvreté émanant de la Banque mondiale

> Actes de la journée d’études de l’équipe CEDIM/FCAR (Centre d’études sur le droit international et la mondialisation - Fonds pour la formation de chercheurs et l’aide à la recherche) : « Mondialisation, Gouvernance et État de droit », tenue à l’Université du Québec à Montréal le 10 mars 2000 : Gouvernance, reconceptualisation du rôle de l’Etat et émergence de nouveaux cadres normatifs dans les domaines social, politique et environnemental.

http://www.gripal.ca/IMG/pdf/ADLutte (...)

L’auteur de cet article a pour ambition de montrer que le discours de la Banque mondiale de lutte contre la pauvreté se révèle être un dispositif légitimant qui justifie les politiques de réforme exigées par diverses institutions internationales et acceptées implicitement par la presque totalité des acteurs de la scène internationale. Ainsi la lutte contre la pauvreté exige la poursuite et le renforcement des réformes en même temps qu’elle modifie le rôle social et distributif de l’Etat.  lire

date de mise en ligne : 30 juillet 2004

LAUTIER Bruno

Pourquoi faut-il aider les pauvres ? Une étude critique du discours de la Banque mondiale sur la pauvreté

> GREITD (Groupe de Recherche sur l’Etat, l’Internationalisation des Techniques et le Développement) et Centre de Recherches de l’IEDES-Paris I (Institut d’étude du développement économique et social), 27p.

http://matisse.univ-paris1.fr/doc2/I (...)

L’objet de ce texte tient en une question, rarement posée : pourquoi faut-il (ou faudrait-il) aider les pauvres ? Bruno Lautier limite cette question à celle des pauvres des « pays en développement », et aux réponses (ou absences de réponse) de la Banque Mondiale, ce qui lui paraît justifié par le rôle de la Banque Mondiale non seulement en tant que bailleur de fonds, mais aussi de mentor idéologique de nombreuses institutions et experts ; et cette institution nous déclare que : « la raison d’être de la BM est d’aider les pays clients à réduire la pauvreté ».  lire

date de mise en ligne : 30 juillet 2004

LAUTIER Bruno

La Banque mondiale et sa lutte contre la pauvreté : sous la morale, la politique.

> GREITD (Groupe de Recherche sur l’Etat, l’Internationalisation des Techniques et le Développement) et Centre de Recherches de l’IEDES-Paris I (Institut d’étude du développement économique et social), 7p.

http://matisse.univ-paris1.fr/doc2/I (...)

« La lutte contre la pauvreté a été promue par la Banque mondiale au rang de mission prioritaire dès 1990 ; ce changement d’orientation proclamée a suscité, chez quelques universitaires ou militants d’ONG (mais fort rarement chez les hommes politiques et les journalistes) un certain scepticisme : derrière ce slogan, n’y avait-il pas la quête d’un regain d’une légitimité mise à mal par l’ajustement structurel ? Mais, quels que soient les doutes sur la réalité de l’engagement de la BM dans le sens de la lutte contre la pauvreté, ou les critiques des actions menées, le bien fondé de cette lutte n’est contesté par personne : lutter contre la pauvreté, qui pourrait être contre ? »  lire

date de mise en ligne : 30 juillet 2004

ZACHARIE Arnaud

Rôle des organisations internationales

http://france.attac.org/spip.php?art (...)

Présentations critiques de l’ONU (Organisation des Nations unies), du FMI (Fonds monétaire international), de la Banque mondiale, l’OMC (Organisation mondiale du commerce), du G7, de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord), de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) et du Forum de Davos.  lire

date de mise en ligne : 29 juillet 2004

CAMPBELL Bonnie

Gouvernance : un concept apolitique ?

> Séminaire d’été du HCCI (Haut Conseil de la Coopération Internationale), août 2000

http://www.er.uqam.ca/nobel/ieim/IMG (...)

Quel modèle politique est sous-jacent au concept apolitique de gouvernance ? Afin de répondre à cette question, l’auteur se propose trois objectifs :
1. Revisiter le concept de « gouvernance ».
2. Montrer comment la reconceptualisation du rôle de l’État qui est au coeur du projet de gouvernance des institutions de Bretton Woods, donnent lieu à l’émergence de nouveaux cadres normatifs dans le domaine social.
3. Interroger le projet politique inscrit dans le processus en cours de réformes institutionnelles, de gouvernance et notamment dans la stratégie de « gouvernance décentralisée » mise de l’avant par la Banque mondiale.  lire

date de mise en ligne : 19 juillet 2004

TAVERNIER Yves

Les activités et le contrôle du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale

> Rapport d’information, enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 13 décembre 2000, 344p.

http://www.assemblee-nat.fr/legislat (...)

Ce se décompose en trois parties :
1. Comprendre les institutions financières internationales (historique, fonctionnement actuel, place de la France dans les IFI)
2. Critiquer les IFI (manque de démocratie, centralisation très forte, interventions et positionnement contestables, relation ambiguë avec les agences des Nations Unies)
3. Réformer les IFI (circonscrire leur mission, rompre avec le « Consensus de Washington », démocratiser leur fonctionnement, créer une politique européenne au sein des IFI  lire

date de mise en ligne : 2 juillet 2004

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